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Amer. Journ. 4. Berliner Ber. 1869. Math. Ann. 7; Zeitschr. f. Math. 20, 21, 24. Journ. für Math. 70 und 72. Journ. für Math. 70. Math. Ann. 24. Bull. sciences math. Math. Ann. 26. Collectanea mathematica; Annali di matem. Göttinger Nachr., 1871. Math. Ann. 5. Journ. für Math. 81; Comptes rendus 82. Amer. Journ. 4. Journ. für Math. 74 oder Quart. Journ. 12. Grunerts Arch. 64. Bull. Soc. math. 10.

Grunerts Arch. 70. Amer. Journ. 3. Grunerts Arch. 66, 67, 68, 69. Nova Acta der Leopold.-Carol. Akademie 44. Die polydimensionalen Grössen und die vollkommenen Primzahlen. Wiener Ber. 90. Wiener Ber. 89 und 90. Diese bilden eine der merkwürdigsten von den durch L. Brill in Darmstadt veröffentlichten Serien von Modellen. Journ. für Math. 31, S. 213.

Ne encore ne le veult elle amer ne ia ne lamera si com elle dit." "Or vous ay ie dit la verite du cheualier, et pourquoy len lui fait si grant honte com vous veistes." "Certes", fait messire Gauuain, "cest dommage quil ayme de si grant cueur quant celle ne le veult amer en cui il a mise sentente.

So steht's mit mir, zu sehr Geliebte du! Ein unbezwingbar ragendes Gebirg Nimmt alle die in seinen Schatten auf, Die unserm Schutz sich willig anvertraun. Uns ist der Tod nichts Schreckliches. Gewiß, Die Stämme von Amer und Sabul fürchten Sich sehr vor ihm. Wir aber lieben ihn! Da wir ihn lieben, fliegt das Leben uns Gar schnell dahin.

II, 6, 7; Giorn. di Matem. 13; Torino Atti, 1876; Lincei Mem. III, 3; Lombardo Rend. 1881. Lincei Mem. 1877-1878. Lombardo Rend. Math. Ann. 5. Math. Ann. 7. Göttinger Nachr. 1873. Amer. Journ. 2, 4, 5. Die Massfunktionen in der analytischen Geometrie. Math. Ann. 10. Quart. Journ. 18. On the theory of screws in elliptic space.

Et il respont: "Dame, se dieux mait, ie vouldroie mieulx que ie iamais ne amasse par amors que ieusse en vous mon cueur mis, car adont seroie ie plus perdus". "Asses", fait elle, "en aues dit". Lors redemande au Morholt ainsi comme elle auoit fait a monseigneur Gauuain et il li respont maintenant: "Dame, certes iayme par amours de tout mon cueur en tel lieu ou iay mamour mieulx emploiee que ie nauroie en vous, car celle est belle et ieune et vous estes vieille et laide, pourquoy ie ne la lerroye pas pour vous amer, car ie feroie deablie". Et quant elle entent ceste parole, elle dit: "Ore, seigneurs, mauez vous reffusee, saches de voir que vous vous en reppentires encor, et de ce que vous mauez pouruillee et tenue en despit, me vengeray ie asses prochainement, si comme ie cuid".

"Si eussent", fait Yuain, "car ces .ij. cheualiers qui cy sont armes les gardent, si que se le Morholt venoit orendroit, ilz lez vouldroient garantir encontre luy et sen combatroient a luy. Et par ceste seurte querolent ellez si hardiement et font de lescu ce que vous veez." "Certes", fait Gauuain, "le Morholt ne pourroie ie amer en nulle maniere puis quil het les damoiselles de tout son cueur.

Gegen Mittag erreichten wir die Ruinen, welche die Eingebornen unter dem Namen uadi Amer bezeichnen, und die mehrere Stunden weit sich nach N.-O. hin ausdehnen, und bei einem Orte Beludj enden. Barth verlegt hieher Balakrai, und meint auch, dass eine der zwanzig von Ptolemaeus erwähnten Städte, vielleicht Eraga, hier zu suchen sei.

Überdies scheint es außer Zweifel zu stehen, daß Gauß ausgedehnte und bestimmte Ideen über die Geometrie von mehreren Dimensionen gehabt hat; vgl. Sartorius von Waltershausen, a. Math. 28. Annali di Matem. II, 2 und 5. Journ. für Math. 65; Annali di Matem. Journ. für Math. 83. Amer. Journ. 2. Die Nicht-Euklidischen Raumformen in analytischer Behandlung, Leipzig, 1885. Math. Ann. 27.

Et il se taist vng pou, pour ce quil voit celle qui art et eschauffe plus et plus. Et quant celle le voit taire, elle li dist: "Dictes moy, qui est celle que vous ameries, se elle vous vouloit amer." "Pourquoi", fait il, "le vous diroie ie, par auenture vous ne men croiries mie?"