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Ah! je suis perdue, le jour se lève. Père Ubu: Mais enfin je suis content de savoir maintenant assurément que ma chère épouse me volait. Je le sais maintenant de source sûre. Omnis a Deo scientia, ce qui veut dire: Omnis, toute; a Deo science; scientia, vient de Dieu. Voil

Eh bien! Scientia, ta maîtresse adorée A tes chastes désirs s'est-elle enfin livrée? Ou, comme au premier jour, N'en es-tu qu'

Aola autem scientia discernendi philosophia dicitur... Philosophos... vocamus costantum qui subtilitate intelligentiæ præominentes in his quæ diligentem habent discretionem. Discretus est qui causes occultas rerum comprehendere ac deliberare valet.

XII, p. 203. «Magister in scientia celeberrimusAlberic. Chron., id. t. XIII, p. 700. «Philosophus cui nostra parem, nec prima secundum saecula videruntEx chron. britann. id. t. Ex Chron. Rich. pict., Rec. des Hist., t. Petrus.... quem mundus Homerum Clamabat. (Seconde épitaphe attribuée

M. Rudki expose dans Scientia les résultats fournis par les différentes méthodes employées pour évaluer l'âge de la terre. En comparant l'épaisseur des couches anciennes

Vn certo gentilhuomo Fiorentino, consumando il tempo senza frutto nel studio di Pauia, essendo richiamato a casa dal padre senza hauere imparato scientia ne disciplina alcuna: vuolendosi mettere in viagio prima che montasse a cauallo, chiamato un notaio e alcuni testimoni fesse passare vno contratto, e giuro: che egli non portaua lettere ne scientia nessuna fuor di quella Achademia.

[Note 556: «Sensus, Imaginatio, existimatio, scientia, ratioCette distribution des principales facultés de l'esprit humain ne se trouve nulle part énoncée en termes exprès dans Boèce; du moins je ne l'y ai pas découverte. Il est impossible cependant d'en rapporter tout l'honneur

[Note 97: «Est logica, auctoritate Tullii, diligens ratio disserendi, id est discretio argumentorum per quæ disseritur, id est, disputatur. Non enim es logica solentia utendi argumetis sive componendi ca, sed discernendi et dijudicandi veraciter de cis. Duæ argumentorum scientiæ; une componendi, quam dicimus rationnativam, alia autem discernendi composita, quam logicam appellamus. » L'auteur cite ici les Topiques de Cicéron, qu'il connaissait par la Commentaire de Boèce. (Boeth. Op., p.757.) Voici comment s'exprime Cicéron: «Quam omnis ratio diligens disserendi duas habeat partes, unam Inveniendi, alteram judicandi, utriusque princeps, ut mihi quidem videtur, Aristoteles fuit. Stoici autem in altera elaboraverunt, judicandi enim vias diligenter persecuti sunt, ca scientia, quam dialecticen appellant.» (Top., II.) Bède adopte cette définition de la dialectique entendue en général; celle d'Alcuin, que nous avons citée, on diffère peu, et elle a été répétée textuellement par Raban Maur. (Voy. ci-dessus, t. 1, p. 311, et Rab. Maur., De instit. cleric., l. III, c. xx.) Au reste c'est la définition que Ramus tirait des Topiques de Cicéron pour l'opposer

Or, pour connaître ainsi par les causes, il y a trois procédés: divin, angélique et humain. La science de Dieu est intuitive, car il voit tout dans son Verbe, dont la pensée est créatrice de toute chose, suivant l'adage: Scientia Dei est factiva rerum. La science des anges est aussi intuitive. Grâce