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Mis à jour: 14 juin 2025


[Note 546: Categ., V. Boeth., In Proed., l. I, p. 130. Pour bien comprendre ceci, il faut se rappeler que l'équivocation (homonymie) est la propriété des choses équivoques (homonymes), c'est-

Isag., II. Boeth., In Porph., l. «De ces touts qu'on appelle entiers ou constitutifs, les uns sont continus, comme la ligne, qui a ses parties continues, et les autres non, comme le peuple, dont les parties sont désagrégées. La division de ces touts ne s'énonce pas au même cas que celle de l'universel, c'est-

II, et Boeth., In Porph., t. II, p.60. Cette proposition est incongrue, non congruit; car la lettre étant dans le mot, et par conséquent s'attribuant

[Note 59: Hermen., VII. Boeth., De Interp., ed. prim., p. 338. Il semble qu'Abélard avait encore une autre version du De Interpretatione que la version de Boèce, car il cite ainsi la phrase d'Aristote: «Rerum aliae sunt universales, aliae sunt singulareset il y a dans la version de Boèce: «Sunt haec rerum universalia, illa vero singulariaLes termes cités Par Abélard sont conformes

II, §23, p. 8 de la trad. de M. Barth. Saint-Hilaire. Boeth., in Porph. translat., l. Les trois derniers degrés de cette échelle portent les noms de genre, d'espèce, d'individu. L'animal est un genre, l'homme une espèce, Socrate ou Platon un individu.

Boeth., Quom. Sp. Au reste, ces deux interprétations ont deux caractères communs; l'un dangereux, c'est qu'elles tendent l'une et l'autre

Arist. Hermen., IX, XIII. Boeth., in lib. de Interpret., edit. sec., I. III, p. 367-370. S. Anselm, Op., De concord., etc., p. 123. S. Thom. Summ. theol., l pars, quiest, XIV. art. 1, 2, etc. Voyez aussi dans la troisième partie de cet ouvrage les c. II, III, V, et surtout le c.

Cf. Boeth., De Duab. La conclusion est orthodoxe, bien que précédée de distinctions qui ne le sont pas. L'

[Note 479: Dial., pars II, in III l., p. 227-323. Abélard appelle cette partie Analytica priora, titre de la troisième partie de l'Organon. Seulement dans Aristote, cette troisième partie ne traite point de l'oraison ni de la proposition, ni par conséquent de l'affirmation et de la négation, etc., tout cela ayant trouvé en place dans l'Hermeneia. Les Analytiques premiers ou premières roulent exclusivement sur l'analyse du syllogisme; et Abélard, en conservant le titre, aurait conserver la division. Au reste, il n'avait pas sous les yeux les Analytiques d'Aristote, et il était principalement guidé par le traité de Boèce sur le syllogisme catégorique; c'est cet ouvrage qui, soit par son introduction (Boeth. Op., p. 558), soit par son premier livre (id., p. 580), lui a donné l'exemple de joindre

Isag., III. Boeth., In Porph. a se transl., l. Par un plus grand abus, il employait le nom infini (indéterminé) pour désigner l'espèce opposée. Ainsi, il disait: La substance est ou le corps ou le non-corps. Non-corps pour lui ne désignait que l'espèce opposée

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