Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !

Mis à jour: 9 mai 2025


Jos., Bell. jud., VII, vi, 3; Lucien, Philopseud., 16; Philostrate, Vie d'Apoll., III, 38; IV, 20; Arétée, De causis morb. chron., I, 4. Matth., IX, 33; XII, 22; Marc, IX, 16, 24; Luc, XI, 14. Tobie, VIII, 2-3; Matth., XII, 27; Marc, IX, 38; Act., XIX, 33; Josèphe, Ant., VIII, II, 5; Justin, Dial. cum Tryphone, 85; Lucien,

[Note 457: Ab. Op., Introd. ad. theol., p. 1007. Ouvr. Inéd., Dial., p. 193. M. Cousin a bien trouvé, dans un manuscrit du XIIe ou XIIIe siècle, une traduction inédite du Phédon; mais rien n'annonce qu'elle fût connue du temps d'Abélard, et d'autres faits indiquent que c'est précisément dans les dernières années de sa vie et après lui qu'un plus grand nombre d'écrits d'Aristote et de Platon commencèrent

Ovide, 582-700. Apollod. Lucien VIIIe dial. Cette frise est gravée dans les Monuments de la Grèce, de Legrand et dans les Antiquités d'Athènes, de Stuart et Revett, et aussi dans le Dictionnaire des antiquités grecques et romaines, de Daremberg et Saglio, p. 611. Gaz. arch., 1875. pl. II. Dict. des antiq. grecq. et rom., p. 611. Gerhard, Auserl-Vas. Icon. Toelken, Verzeichniss, t.

[Note 315: Ibid. Dial., t. VII, p. 985-998. Cette assimilation de la Trinité au nombre, au poids,

[Note 479: Dial., pars II, in III l., p. 227-323. Abélard appelle cette partie Analytica priora, titre de la troisième partie de l'Organon. Seulement dans Aristote, cette troisième partie ne traite point de l'oraison ni de la proposition, ni par conséquent de l'affirmation et de la négation, etc., tout cela ayant trouvé en place dans l'Hermeneia. Les Analytiques premiers ou premières roulent exclusivement sur l'analyse du syllogisme; et Abélard, en conservant le titre, aurait conserver la division. Au reste, il n'avait pas sous les yeux les Analytiques d'Aristote, et il était principalement guidé par le traité de Boèce sur le syllogisme catégorique; c'est cet ouvrage qui, soit par son introduction (Boeth. Op., p. 558), soit par son premier livre (id., p. 580), lui a donné l'exemple de joindre

[Note 475: Je traduis ici les deux définitions sur le texte d'Abélard (Dial., p. 201), l'une: «Omnia illa ad aliquid quaecumque ad se invicem assignari per propria quoque modo possent. (Platon?) Sunt ea ad aliquid quibus est hoc ipsum esse ad aliud se habere.» (Aristote.) Boèce, qui nous apprend qu'on croyait la première définition de Platon, les donne toutes deux plus clairement et plus correctement: «1° Ad aliquid dicuntur quaecumque hoc ipsum quod sunt aliurum esse dicuntur, vel quomodo libet aliter ad aliud. 2° Sunt ad aliquid quibus hoc ipsum esse est ad aliquid quodam modo se habere.» (In Praed., p. 155 et 169.) M.B. Saint-Hilaire traduit d'une manière plus conforme au texte d'Aristote en disant: 1° «On appelle relatives les choses qui sont dites, quelles qu'elles soient, les choses d'autres choses, ou qui se rapportent

[Note 491: Dial. part. II, p. 305-323. Abélard a trailé assez succinctement du syllogisme, et cette fois il est plus bref qu'Aristote. On a déj

Mot du Jour

cuthbert

D'autres à la Recherche