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Mis à jour: 26 juin 2025


De graves accusations se sont élevées contre la morale d'Abélard. «Lisez le livre qu'ils appellent Scito te ipsum, écrit saint Bernard aux évêques et aux cardinaux, et voyez quelle moisson y foisonne d'erreurs et de sacrilèges; et ce qu'il pense...du pouvoir de lier et de délier, du péché originel, de la concupiscence, du péché de plaisir, du péché d'infirmité, du péché d'ignorance, de l'oeuvre du péché, de la volonté de pécherEt parmi les quatorze condamnations prononcées par le concile de Sens, il y en a bien six qui frappent des maximes extraites en effet du Scito te ipsum.

Thomas ipsum volumen accipiens et se fratrum orationibus recommendans...» Guill. de Thoco, vit S. Thomæ, ap.

Le chrétien répond par la distinction du sens littéral et du sens figuré; il faut donner aux expressions un sens parabolique; il faut dans le récit des faits chercher le sens mystique. Le philosophe revient une seconde fois au souverain bien, et demande ce que c'est que bien, ce que c'est que mal; il entraîne ainsi le chrétien dans le labyrinthe des définitions. Après quelques réflexions sur la difficulté de définir, celui-ci recherche quelles sont les bonnes et les mauvaises choses, et il reproduit quelques-unes des idées que nous avons rencontrées dans le Scito te ipsum, ce qui le conduit

[Note 475: Je traduis ici les deux définitions sur le texte d'Abélard (Dial., p. 201), l'une: «Omnia illa ad aliquid quaecumque ad se invicem assignari per propria quoque modo possent. (Platon?) Sunt ea ad aliquid quibus est hoc ipsum esse ad aliud se habere.» (Aristote.) Boèce, qui nous apprend qu'on croyait la première définition de Platon, les donne toutes deux plus clairement et plus correctement: «1° Ad aliquid dicuntur quaecumque hoc ipsum quod sunt aliurum esse dicuntur, vel quomodo libet aliter ad aliud. 2° Sunt ad aliquid quibus hoc ipsum esse est ad aliquid quodam modo se habere.» (In Praed., p. 155 et 169.) M.B. Saint-Hilaire traduit d'une manière plus conforme au texte d'Aristote en disant: 1° «On appelle relatives les choses qui sont dites, quelles qu'elles soient, les choses d'autres choses, ou qui se rapportent

«Sigebertus erat elegans et versutusSur Chilpéric, V. plus bas. VII, p. 169. «Si pejeret Francus, quid novi faceret; qui perjurium ipsum sermonis genus esse putat, non criminisSalvian., l. IV, c. XIV. «Franci, quibus familiare est ridendo fidem frangereFlav. Vopiscus in Proculo. 87 page 171 Le Romain Mummole bat les Saxons...

Omnia per ipsum facta sunt; et sine ipso factum est nihil quod factum est. Il ipso vita erat et vita erat lux hominum et luix in tenebris lucet et tenebrae eam non comprehenderunt... Dans le principe était le Verbe, et le Verbe était en Dieu et le Verbe était Dieu. Il était dans le principe en Dieu. Toutes choses ont été faites par Lui; et rien de ce qui a été fait n'a été fait sans Lui.

Fauni, de Antiq. urb. Rom., lib. II, cap. 7, ap. [Note C: Romuli nutrix lûpa honoribus est affecta divinis, et ferrem si animal ipsum fuisset cujus figuram gerit. Lact. de fals, relig. lib. I, cap. 20, page 101, édit. varior. 1660; c'est-

O quam felix l'ame la hault erit Que videre deum creatorem Ipsum patrem luminis poterit Siderumque lune conditorem Prepotentem cunctorum factorum Sempiternum solem justicie Genitoremque sapientie

I, p. 147: «Non mutabat cilicem suum, dum fuisset tanto plenum pediculis, quod mirum erat, et quando cubicularius volebat amovere pediculis a dicto cilice, ipse dominus Carolus dicebat: «Dimittatis, nolo quod aliquem pediculum amoveatis,» «et dicebat quod sibi malum non faciebant et quod, quando ipsum pungebant, recordabatur de Deo»...

[Note 211: Cette propagation rapide et étendue de ses ouvrages est attestée par Guillaume de Saint-Thierry et par saint Bernard dans les lettres qui seront plus bas analysées. Le premier dit aussi que le «Sic et Non et le Scito te ipsum fuyaient la lumière et ne se trouvaient pas aisémentIl est

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