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At captivorum filii et quidquid illis fuit mancipiorum aeris temperie in altum se sustulerunt et præter ætatem pubuerunt et in immensam multitudinem succrevit et auctum est hostium genus. Goth. Sozom., ub sup.

«Il existe un genus humanum, et il n'en existe qu'un. Cette espèce humaine, l'humanité entière, est un seul organisme, et possède une conscience commune».

Dans le cas l'on se déciderait pour l'affirmative, quels seraient les moyens de parer aux inconvénients, qui en résultent? Quod genus hoc hominum; quaeve hunc tam barbara morem Permittit patria? Messieurs,

Voici un nouvel exemple de ce qui reste d'un texte après que la censure y a sévi: Science allemande. Genus mendacio natum.

Je suis médecin, et, par conséquent, il est de mon devoir de soulager mon semblable qui souffre. Il est vrai que le Monsoreau est si laid, que j'aurai presque le droit de dire qu il n'est pas mon semblable, mais il est de la même espèce, genus homo. Allons, oublions que je m'appelle le Haudoin, oublions que je suis l'ami de M. de Bussy, et faisons notre devoir de médecin.

Le mot: Genus irritabile votum, date de bien des siècles avant les querelles des Classiques, des Romantiques, des Réalistes, des Euphuistes, etc... Il est évident que par l'irrésistible Nuit M. Charles Baudelaire a voulu caractériser l'état actuel de la littérature, et que les crapauds imprévus et les froids limaçons sont les écrivains qui ne sont pas de son école.

«Genus irritabile vatum! Que les poëtes (nous servant du mot dans son acception la plus large et comme comprenant tous les artistes) soient une race irritable, cela est bien entendu; mais le pourquoi ne me semble pas aussi généralement compris. Un artiste n'est un artiste que grâce

LXVIII. Qu'ai-je dit? et que vais-je dire, imprudent? Ne vois-je pas tout le genus irritabile vatum hurler

Dans les problèmes difficiles que l'histoire offre souvent, il est bon de demander aux termes de la langue tous les enseignements qu'ils peuvent donner. Une institution est quelquefois expliquée par le mot qui la désigne. Or, le mot gens est exactement le même que le mot genus, au point qu'on pouvait les prendre l'un pour l'autre et dire indifféremment gens Fabia et genus Fabium; tous les deux correspondent au verbe gignere et au substantif genitor, absolument comme [Grec: genos] correspond

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