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Mis à jour: 2 juillet 2025


[Note 475: Je traduis ici les deux définitions sur le texte d'Abélard (Dial., p. 201), l'une: «Omnia illa ad aliquid quaecumque ad se invicem assignari per propria quoque modo possent. (Platon?) Sunt ea ad aliquid quibus est hoc ipsum esse ad aliud se habere.» (Aristote.) Boèce, qui nous apprend qu'on croyait la première définition de Platon, les donne toutes deux plus clairement et plus correctement: «1° Ad aliquid dicuntur quaecumque hoc ipsum quod sunt aliurum esse dicuntur, vel quomodo libet aliter ad aliud. 2° Sunt ad aliquid quibus hoc ipsum esse est ad aliquid quodam modo se habere.» (In Praed., p. 155 et 169.) M.B. Saint-Hilaire traduit d'une manière plus conforme au texte d'Aristote en disant: 1° «On appelle relatives les choses qui sont dites, quelles qu'elles soient, les choses d'autres choses, ou qui se rapportent

Dans cette trinité des personnes, aucune n'est substantiellement différente des deux autres, aucune n'en est numériquement séparée; chacune est différente de chaque autre seulement par la propriété, non, encore une fois, dissemblable substantiellement ou numériquement, comme le croit Arius. Ainsi le Père n'est pas autre chose (aliud) que le Fils ou le Saint-Esprit, ni le Fils que le Saint-Esprit; il n'est pas autre chose en nature, mais il est autre (alius) en personne: celui-ci n'est pas celui-l

Quia, répond insolemment le diable, quia tu male linguis. Hoc est aliud rem, dit majestueusement le prêtre, et il se retire avec dignité, laissant tout camus ce pédant solennel. Que de folies, dira-t-on, et chez un homme que son état et son âge condamnent au sérieux

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