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Mis à jour: 22 mai 2025
[Note 169: Ouvr. inéd. Petri Abaelardi Sic et Non, p. 3-163. Le titre de cet ouvrage, mentionné dans la lettre de Guillaume de Saint-Thierry, était tout ce qu'on en connaissait. Les bénédictins, éditeurs du Thésaurus anecdotorum et du Spicilegium, disaient seulement qu'ils avaient cet écrit
[Note 26: P. Abaelardi fragmentum sangermanense de Generibus et Speciebus. Ouvr. inéd., p. 507-550. M. Cousin, qui a publié ce morceau précieux et inconnu, l'a découvert
[Note 40: Ab. Op., Introd. ad theol., p. 1012, 1026, 1032, 1070 et 1134. Ouvr. inéd. Dialect., p. 204 et 205. Cette autorité si grande de Platon, que l'on connaissait si peu, venait des Pères de l'
Inéd. Lorsqu'il eut acquis toute sa gloire, lorsqu'il eut atteint le faîte de la science, l'origine vraie ou fausse de son nom fut oubliée, et l'on ne voulut y voir qu'un surnom emprunté au nom de l'abeille, comme si Abélard eût été l'abeille française, ainsi qu'autrefois un grand écrivain fut appelé l'abeille attique .
Saresber. Metalog., l. II, c. Or, au début même de cette introduction, que rencontrait-on? un problème posé sans solution. Isag. praefat., c. I. Boeth., in Porphyr. a se transl., p. 53. Cousin, Fragm. philos., t. III, p. 84. Ouvrag. inéd. d'Ab., Gloss. in Porphyr., p. 668. L'Introduction de Porphyre a été traduite pour la première fois par M. Barthélémy Saint-Hilaire, t.
[Note 140: Hist. de la croisade contre les hérétiques albigeois, écrite en vers provençaux, publ. par M. C. Fauriel. Coll. de docum. inéd. sur l'Hist. de France, 1re série, et le manusc. de la Bibl. Imp. (fonds La Vallière, n°91). Ce manuscrit est d'un auteur contemporain, témoin oculaire de la plupart des faits qu'il raconte; l'exactitude des détails donne
«Donné aux Montilz lez tours, ce VIIIe jour de mars , «Charles, «de la Loëre.» Arch. municip., Origin. inéd., série A.A.
[Note 37: Ouvr. inéd., Introd. xliii, xliv, et Dialec., p. 200 et 206. Je parle de l'hébreu, parce qu'on avait alors la prétention de le savoir. Tous les historiens et même Abélard disent qu'Héloïse le savait, et d'Amboise a montré que les juifs, qui en général ont conservé la connaissance de leur langue, participaient au mouvement des études
[Note 447: Ouvr. inéd., p. 651-677-695-803. Comme nous n'écrivons point un ouvrage d'érudition, nous nous contenterons,
[Note 457: Ab. Op., Introd. ad. theol., p. 1007. Ouvr. Inéd., Dial., p. 193. M. Cousin a bien trouvé, dans un manuscrit du XIIe ou XIIIe siècle, une traduction inédite du Phédon; mais rien n'annonce qu'elle fût connue du temps d'Abélard, et d'autres faits indiquent que c'est précisément dans les dernières années de sa vie et après lui qu'un plus grand nombre d'écrits d'Aristote et de Platon commencèrent
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