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Vous me louez trop vite, Marcel, de ce que je n'ai point dit. Il s'en faut que j'aie cette haine vigoureuse que vous portez aux commentateurs. À mon sens, ceux de la Comédie ont rendu de vrais services. Sans eux, je parle des anciens surtout, nous aurions aujourd'hui perdu toute trace d'une multitude de particularités de la vie florentine, auxquelles Dante fait allusion dans son poëme et qui rompent très-heureusement, par un accent de vérité familière, la solennité de l'ensemble. Selon l'opinion de Fauriel, qui compare les commentateurs de Dante

Prosper Mérimée avant «La Guzla». Les débuts littéraires de Mérimée: Cromwell, le Théâtre de Clara Gazul. § 2. Influence de Fauriel: goût de la poésie populaire. § 3. Influence de Stendhal: goût de la mystification. Les Sources de «La Guzla». Nodier, Fauriel, Chaumette-Desfossés, «L'Orphelin de la Chine». Date de la Guzla § 2. Influence de Nodier. Le mot: guzla. Hyacinthe Maglanovich. § 3.

C'est de Fauriel aussi que Mérimée apprit une foule de détails qui caractérisent la poésie populaire. Nous nous en occuperons dans notre deuxième partie. L'INFLUENCE DE STENDHAL SUR M

Les revues du temps en avaient donné de nombreux extraits ; de plus, Fauriel, le premier titulaire de la chaire de littérature étrangère

L'un des maîtres de Mérimée, Fauriel, estimait déj

L'influence de Fauriel sur les débuts de son jeune ami Ampère fut sensible. «Il contribua, dit Sainte-Beuve dans l'article consacré

L'INFLUENCE DE FAURIEL SUR M

Fauriel regrette-t-il de n'avoir pu trouver sur un certain sujet qu'une assez mauvaise chanson, incomplète d'ailleurs: «Je n'ai pu me procurer sur Androutzos que la seule chanson suivante, et encore n'est-elle pas complète et le sujet en est-il assez vagueMérimée lui aussi a son fragment de ballade qui ne vaut pas grand'chose et qui «ne se recommande que par la belle description d'un vampire ».

D'autre part, l'amour du primitif avait poussé Mérimée du côté de la poésie populaire. À l'école de Fauriel, le jeune écrivain avait appris

Le vampirisme qui tient aussi une place considérable dans ses ballades et dont, chose curieuse, Charles Nodier était également le représentant le plus connu en France, battait son plein entre 1820 et 1823; en 1827, il n'était plus de mode même auprès des parodistes. Enfin, les Chants populaires de la Grèce moderne de Fauriel, qui provoquèrent ceux de l'Illyrie moderne de Mérimée, sont de 1824.