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[Note 59: Hermen., VII. Boeth., De Interp., ed. prim., p. 338. Il semble qu'Abélard avait encore une autre version du De Interpretatione que la version de Boèce, car il cite ainsi la phrase d'Aristote: «Rerum aliae sunt universales, aliae sunt singulareset il y a dans la version de Boèce: «Sunt haec rerum universalia, illa vero singulariaLes termes cités Par Abélard sont conformes

[Note 566: Abélard altère un peu la pensée d'Aristote et la transforme en proposition générale. Aristote dit seulement que, bien que ce qui n'est pas puisse être pensé (opinabile), il n'en faut pas conclure que ce qui n'est pas soit quelque chose, puisque cette pensée ou opination, opinatio, est, non qu'il est, mais qu'il n'est pas. Tel est le sens de la version do Boèce qu'Abélard avait apparemment sous les yeux (De Interp., ed. sec., I. V, p. 423). Dans le texte grec, il y a littéralement: «Le non-être, parce qu'il est pensable (opinabile), n'est pas pour cela dit avec vérité être quelque chose de réel, ens quiddam, puisque nous ne pensons pas qu'il soit, mais qu'il n'est pas.» (Hermen., XI.) Au reste, si l'on voulait approfondir toute cette partie de la logique d'Abélard, il faudrait se reporter

III, p. 1130-1136. Voyez aussi Arist. Hermen., IV, IX, et ci-dessus, t. II, c. IV, t.

Arist. Hermen., IX, XIII. Boeth., in lib. de Interpret., edit. sec., I. III, p. 367-370. S. Anselm, Op., De concord., etc., p. 123. S. Thom. Summ. theol., l pars, quiest, XIV. art. 1, 2, etc. Voyez aussi dans la troisième partie de cet ouvrage les c. II, III, V, et surtout le c.