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Mis à jour: 20 juin 2025
Arist. Hermen., IX, XIII. Boeth., in lib. de Interpret., edit. sec., I. III, p. 367-370. S. Anselm, Op., De concord., etc., p. 123. S. Thom. Summ. theol., l pars, quiest, XIV. art. 1, 2, etc. Voyez aussi dans la troisième partie de cet ouvrage les c. II, III, V, et surtout le c.
Launoy, De var. Arist. in Acad. paris, fort., c. I et III. Brucker, Hist. crit. phil., t. III, p. 670-684. Buddaei Observ. select., t. VI, ch. XVIII et XX. Jourdain, Rech. sur les trad. d'Arist., passim. M. Rousselot, Phil. dans le moy. âge, 1re part Voyez aussi le chap. suiv. et le chap. I du l.
Arist., 1. VIII, p. 662. In Top. Cic., 1. VI, p. 767. De Diff. top., 1.
[Note 34: Aristote & Cicéron mettent la vangeance &c. Arist.
Arist. fortuna, c. II. -Ritter, Ouvr. cité, t. VI, c. III, p. 249, et t. VII, c.
III, p. 1130-1136. Voyez aussi Arist. Hermen., IV, IX, et ci-dessus, t. II, c. IV, t.
Que si elle est dans l'homme ou dans un sujet, elle n'y est pas comme une certaine partie, mais en sorte qu'il lui soit impossible de subsister sans ce sujet même: car c'est ainsi qu'Aristote définit être dans un sujet; mais elle est partie formelle de l'homme, elle est donc partie, et il faut lui chercher un sujet dont elle ne soit point partie. Arist., t. I, p. 119.
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