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Jourdain, Rech. sur les trad. d'Arist. Cousin, Introd. aux ouvr. d'Ab., p. 49. L'Hist. litt., t. IV, p. 225 et 246, t. V, p. 428 et 657. Ven. Béd. Op., t. II, Sentent. seu axiom. phil., passim. Johan. Saresb., Entheticus, in comm., p. 82 et 109. Scot Erigène, par M. Saint-René Taillandier, p. 79. Brucker, Hist. crit. phil., t. III, p. 632, 644, et 657. Martene, Ampliss. Coll., t.

[Note 435: [Grec: Ae morphae kai to eidos to kata ton logon]. Phys., II, 1. Cette tendance est si naturelle que les traducteurs de la Métaphysique disent que le genre est la notion fondamentale et essentielle dont les qualités sont les différences, pour rendre ces mots: [Grec: Os en tois logois to proton enupargon, ho legetai en to ti esti, touto genos].(V, XXVIII; et dans la trad., t. I, p. 202.) Suivant de bons juges, c'est surtout la logique stoïcienne qui aurait embrouillé les idées et entraîné la scolastique dans les obscures subtilités de la question des universaux. Quoique imparfaitement connue, cette logique, en effet, paraît captieuse et elle peut bien avoir troublé l'esprit de Boèce; mais elle n'a exercé qu'une influence très-indirecte au moyen âge. Brucker attribue cette influence

Frider. I, I. I, c. xlvii. Cf. Brucker, t. Jean de Salisbury se plaît

L'article d'Abélard, dans l'Histoire de la philosophie, de Brucker, mérite aussi d'être lu, tant pour la critique que pour la biographie. III, pars II, lib. II, cap. III, sect. Nous ne faisons que mentionner l'histoire d'Abélard par Diderot, dans l'article Scolastique de l'Encyclopédie.

Launoy, De var. Arist. in Acad. paris, fort., c. I et III. Brucker, Hist. crit. phil., t. III, p. 670-684. Buddaei Observ. select., t. VI, ch. XVIII et XX. Jourdain, Rech. sur les trad. d'Arist., passim. M. Rousselot, Phil. dans le moy. âge, 1re part Voyez aussi le chap. suiv. et le chap. I du l.

Brucker, Hist. crit., t. J. Cornubius, Eulogium, Thes. nov. anecd., t. V, p. 1066. Ab.

Cf. Berelly. tar., c. VII, p. 236. B. Lanfr., Op. omn., Paris, 1648. Cf. Brucker, Hist. crit. phil., t. Et prof., t.

Les principaux rédacteurs du journal étaient de Brucker, Michel Masson, Romieu, Rousseau, Garnier-Pagès aîné, de Leuven, Dupeuty, de Villeneuve, Cavé, Vulpian et Desforges. Desforges avait abandonné son fruit en province pour venir se rallier

Frid., l. I, c. XVII. Cf. Brucker, Hist. crit. philos., t. III, pars II, l. II, c.

Les idées générales de Diderot, infiniment incertaines et contradictoires, car Diderot n'est pas assez réfléchi pour être systématique, sont cependant ce qu'il y a en lui de plus considérable et digne d'attention. Ce sont des intuitions, mais quelquefois, assez souvent, les intuitions d'un homme supérieur. Vous savez, du reste, qu'avec toute sa fougue, il est informe. Il est très savant, plus que Voltaire, qui l'est beaucoup, infiniment plus que Rousseau, plus peut-être, plus diversement au moins, que Buffon. Il sait toute l'histoire de la philosophie, d'après Brucker, sans doute, mais par lui-même aussi, il me semble; et il la sait bien. On peut le considérer comme l'initiateur de cette science chez les Français, qui avant lui, j'excepte Bayle, ne s'en doutaient pas. Ses articles de l'Encyclopédie sur Aristote, Platon, Pythagore, Leibniz, Spinoza, le Manichéisme, sont tout