United States or China ? Vote for the TOP Country of the Week !


Sidon. Apollin., lib. I, Epist. Eumène. Romanœ eloquentiœ, non secundum, sed alterum decus.

Car dieu qui est tresraisonnable juge Fort patient et doulx ne jugera Jamais homme ne n'a jugé ne juge Tant est juste que selon qu'il fera Car il rendra secundum opera Peine aux mauvais qui l'auront desservi Et joye aux bons qui l'auront bien servi

Elle affecte donc l'animal tout entier, puisque tout ce que le genre reçoit, il le reçoit dans toute sa quantité; mais de la même manière, l'irrationnalité affecte en même temps l'animal tout entier; ainsi deux opposés sont dans un même de la même manière (in eodem secundum idem). Et qu'ils ne disent pas: il n'est point inconvenant que deux opposés soient dans un même universel, parce qu'

Tunc comes Theobaldus, secundum signum quod inter se fecerant, erecta virga, quam manu portabat in altum, deinde submissam viriliter fregit et frustra in Secanam projecit. Tunc cogito exercitus et baronum adventu, Herbertus sucgesit inperatori ut recederet.

La division substantielle, ou secundum se, est la division du genre en espèces, du mot en significations, ou du tout en parties. La division selon l'accident est celle du sujet en ses accidents, de l'accident en ses sujets, ou la division de l'accident par le coaccident.

Pourtant il me semble que j'aimerais mieux être emporté du terrain de combat, après m'être servi de mon arme secundum artem que de le quitter sans une égratignure après avoir enfreint les lois de l'escrime. Quarto, tierce, seconde, voil

XII, p. 203. «Magister in scientia celeberrimusAlberic. Chron., id. t. XIII, p. 700. «Philosophus cui nostra parem, nec prima secundum saecula videruntEx chron. britann. id. t. Ex Chron. Rich. pict., Rec. des Hist., t. Petrus.... quem mundus Homerum Clamabat. (Seconde épitaphe attribuée

Moindres. Note 551: Avant cette phrase est encore une tirade double de la première, qui est présentée comme le texte original de la traduction latine que l'on fait suivre. Il faut encore remarquer que la lettre du patriarche et celle des empereurs finissent également par deux ou quatre phrases rimées avec intention, et que le chroniqueur de Saint-Denis n'a pas traduites. Ainsi voici la fin de celle de l'empereur: «Nil opus est ficto Domini quo visio dicto Ergo dicto tene fundum. Domini præcepta secundumOn diroit que ces conclusions rimées étoient alors destinées

Quand tout fut achevé, le prêtre pencha sa tête alourdie vers celui qu'il venait d'administrer, et dans un soupir de soulagement, il dit tout bas: «Au revoir, mon ami!... Maintenant, remportez-moi, ajouta-t-il d'une voix éteinte. Nunc dimittis servum tuum, Domine, secundum verbum tuum, in pare

«In carne enim ambulantes non secundum carnem militamusSAINT-PAUL, Cor.