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Mis à jour: 26 juin 2025
De toutes choses par usaige Peult on la verité congnoistre Pourtant le proverbe du saige Nous dit que l'usaige rent maistre Tout ce qui en amour peult estre Est sceu par usaige et par art Pourtant la belle tu dois mettre A me congnoistre ton regart Ire venire loqui nec non dare verba vicissim Esse simul tantum deprecor vt liceat.
Tu ne te dois point abuser A faire ces vaines doubtances Car je congnois pour excuser Faiz d'amours et jeunes enfances Tu sçaiz que j'ay les congnoissances Et si ont celles de mon aage De venus sçavoir son usaige Ses ars meurs et conditions Pourtant oste suspections Et te confie seullement En nostre engin croy fermement Que ce sera chose cellee Et gouvernee saigement Sans pouoir estre revellee.
Mais forcené son conseillier Luy dist te fauldra le couraige Jeune arbre peult on bien ployer Jeunesse se peult esmayer Par fermeté & par usaige Et si trouveras par usaige Que qui l'assault de maladie Morte est tost qui n'y remedie
Si la dicte proclamation a esté bien considérée, il y a suffizante provision ordonnée pour la seureté tant des subjectz du Roy de France que des aultres princes, trafficans et hantans les mers, tellement qu'on ne peult penser comme le dict ambassadeur vouldroit que en cella on pourveût mieulx, si ce n'est qu'on réytérât de nouveau la dicte proclamation en aultre forme de langaige et parolles, chose qui pourroit causer argument de négligence, et qui contreviendroit nomméement aulx coustumes et usaige de ce royaulme, où on n'a de coutume de publier toutz les jours de nouvelles proclamations, comme on faict en aultres pays, où, pour l'usage, cella est trouvé bon; et toutesfoys, quelque deffault que le dict ambassadeur trouve estre en la dicte proclamation, si est ce que, estant suffizante et l'intention de Sa Majesté bonne et droicte, comme elle est, il trouvera, par exécution, prompt remède
Hinc nisi pueris rustica semper eris. A homme seroit impossible Tant eust l'esprit intelligible De dire les biens qui venus/ Sont de la deesse venus Haulte princesse inconfusible Sens humain n'est point susceptible Combien eslevé qu'il puisse estre De tout son usaige congnoistre Qui tant est merveilleux et hault Ne de narrer combien il vault Car c'est liesse souveraine Paradis de nature humaine Et se tu ne viens gallathee A ceste plaisance haultaine Tu en demeureras villaine A tousjours et fille gastee.
Bien volontiers, répondit M. Goubin. M. Bergeret prit un papier sur sa table et lut ce titre: Des Trublions qui nasquirent en la Republicque. M. Goubin demanda quels étaient ces Trublions. M. Bergeret lui répondit que peut-être il le saurait par la suite, et qu'il était bon de lire un texte avant de le commenter. Et il lut ce qui suit: «Lors parurent gens dans la ville qui poussoient grands cris, et feurent dicts les Trublions, pour ce que ils servoient ung chef nommé Trublion, lequel estoit de haut lignage, mais de peu de sçavoir et en grande impéritie de jeunesse. Et avoient les Trublions ung autre chef, nommé Tintinnabule, lequel faisoit beaux discours et carmes mirifiques. Et avoit esté piteusement mis hors la republicque par loi et usaige de ostracisme. De vray le dict Tintinnabule estoit contraire
Le quatrain en vieux français, placé au-dessous d'une composition d'Holbein, est d'une tristesse profonde dans sa naïveté. La gravure représente un laboureur conduisant sa charrue au milieu d'un champ. Une vaste campagne s'étend au loin, on y voit de pauvres cabanes; le soleil se couche derrière la colline. C'est la fin d'une rude journée de travail. Le paysan est vieux, trapu, couvert de haillons. L'attelage de quatre chevaux qu'il pousse en avant est maigre, exténué; le soc s'enfonce dans un fonds raboteux et rebelle. Un seul être est allègre et ingambe dans cette scène de sueur et usaige. C'est un personnage fantastique, un squelette armé d'un fouet, qui court dans le sillon
Fille tu me faiz grant oultraige De me vouloir en mon vieil aage Ung si villain nom imposer Jamais je n'en eu le couraige Jamais n'en sceus art ne usaige Jamais ne vy ung seul passaige Comme l'en s'i peut disposer Il te vallist mieulx reposer Que telles choses proposer Sus celle qui nul mal ne pense Je ne sçay icy que gloser Le fais tu pour me despriser Belle qui t'a peu adviser De me dire ceste insollence
Je suis assés saige et entens Que quant on donne a la personne Cella qu'on donne c'est a temps Car c'est raison qu'on le guerdonne Le don que aucuneffois on donne Peut porter proffit ou dommaige Et n'est loy ne droit ne usaige Sus quoy le don par son empire Ne ayt preference et avantaige Et qu'il ne les puisse destruire Quam petis ut credo per me nisi nullus habebit.
Entendre te fault & savoir Que qui combat de bon couraige Il a faculté & pouoir D'estre a pié ou cheval avoir Chascun selon son avantaige Mais pour commun droit & usaige Combatre a pié est plus honneste Que soy fier en une beste
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