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Mis à jour: 1 juillet 2025


Note 595: Je remarque encore ici la concision de notre chroniqueur, quand il s'agit de l'oriflamme. Le passage de Nangis que Du Cange n'a pas cité dans sa dix-huitième dissertation sur Joinville est cependant fort curieux, surtout dans le texte françois qui, comme on le croit, est également de Nangis. Voici d'abord le latin: «Itaque martyros... devotissimè... interpellans, vexillum de altario S. Dyonisii, ad quod comites Vulcassini spectare dignoscetur» (ces termes sont précisément ceux de la lettre patente de Louis-le-Gros, en 1124) «quem etiam comitatum rex Franciæ debet tenere de dictâ ecclesiâ in feodum, morem antiquum antecessorum suorum servare volens, signiferi jure, sicut comites Vulcassini soliti erant suscipere, suscepitCe passage prouve seulement que les comtes du Vexin étoient les anciens porte-oriflammes, et que le roi, en devenant comte du Vexin, n'avoit pas répudié le service de ses prédécesseurs. Mais le texte françois va nous prouver, ou je me trompe fort, que cet oriflamme n'étoit pas la bannière particulière de l'abbaye, mais bien celle de la France. Ecoutons: «Et prist... sus l'autel l'enseigne Saint-Denis, laquelle apartient au comte de Vesquessin, et laquele conté li rois de France doit tenir en fief de l'églyse Saint-Denis, aussi come li conte de Vesquessin souloient faire, qui portoient anciennement la bannière aus rois de France, pour la raison de leur fièEst-ce clair, et contestera-t-on avec Du Cange le sens de la charte du roy Robert? dira-t-on encore en dépit du more antecessorum de Louis-le-Gros, que l'oriflamme ne parut dans les armées du roi de France qu'

Scripsimus vobis nuper propter certam famam tunc nuper exortam nostre intentionis esse et velle tenere vos sub nostro et Ecclesie romane regimine ac devotione et obedientia ac nolle vos alienare ab Ecclesia, quia intelleximus disseminatos sermones de certis capitulis cum dilecto filio nobili viro Ludovico, delphino Viennensi nostro non pactis iterùm facimus vos certiores nos nullomodo intendere aut velle alienare aut separare vos a nobis et prefata Ecclesia aut alicui alteri subjicere, sed intendimus conservare vos sub nostro et Ecclesiæ regimine et gubernacione prout actenûs fuistis quod vobis futurum ad certitudinem et consolacionem vestram volemus quod venerabili fratri nostro Petro, episcopo Albanensi, legato nostro, in omnibus sicut antea, pareatis.

Note 455: Cette manière de comprendre l'hérédité est curieuse; mais Grégoire de Tours ne dit pas précisément cela. Suivant ce principe, Childebert n'auroit pas recueillir la succession de son père Sigebert, et pourtant personne, même Chilperic, ne lui en avoit contesté le droit. Au reste, voici les paroles de Grégoire de Tours: «Nos vero.... adserentes hunc (Gontramnum) esse nunc patrem super duos filios, Sigiberti scilicet et Chilperici, qui ei fuerant adoptati; et sic tenere regni principatum ut quondam Chlotarius rex fecerat pater ejusGontran ne réclamoit peut-être que la régence, jusqu'

Il ne reste qu'un seul Sonnet de Léonard, que voici; ses autres poésies se sont perdues. Chi non può quel che vuol, quel che può voglia, Che quel che non si può folle è volere. Adunque saggio è l'huomo da tenere, Che da quel che non può suo voler toglia.

Jamais il ne lui serait venu de ne pas mettre de mélancolie dans l'air Quelle pupille tenere, des Horaces. Il ne comprenait pas qu'on pût ne pas trembler en aimant.

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