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[Note 36: Bonardus Rex, acte de 1147 (Obit. S.-P. Lugd., p. 59), c'est la plus ancienne mention. Guigo Regis , domicilié

Je m'étonne, Colonel Saxon, dit notre hôte d'un ton sévère, de vous entendre parler avec éloge de ce poème licencieux. D'après ce que j'ai ouï dire, il a été composé dans le but exprès de jeter le ridicule sur les gens pieux. Je n'aurais pas été plus surpris de vous entendre louer l'ouvrage criminel et sot de Hobbes, qui soutient cette thèse malfaisante: «À Deo Rex,

Des nombreux Rex, Regis, Rege ou Reis la plupart notaires ou clercs qui figurent dans les cartulaires ou polyptyques de la région lyonnaise de 1100

Vivat rex! Je n'ai pas ici suivi l'orthographe des manuscrits de Charles V, mais celle des manuscrits copiés sous Philippe de Valois.

Considerantibus autem illis, et diutius facto silentio, rex tandem, quasi invitus abeundi daret licentiam, subito mirantibus cunctis prosiliens, obortis lacrymis projecit se ad pedes archiepiscopi, cum singultu dicens: «Domine mi pater, tu solus vidistiEt congemirians cum suspirio: «Vere, ait, tu solus vidisti.

Note 275: Voici le texte édite de l'annaliste: «Nam uxor ejus et filii, cum parte optimatum, in Italiam profecti sunt. Rex autem hanc corum profectionem quasi supervacuam impatienter tulitCe passage donne beaucoup

Quia dixerunt nunquam rex erit super nos, sed nos ipsi regnabimus. Generationem autem tuam post te in humilitate Romam uisitare et coronam perpetuam habere faciam. His dictis discessit angelus.

180 page 313 Louis-le-Bègue avoue qu'il ne tient la couronne que de l'élection... Annal. Bertin., ap. Scr. Fr. VIII, 27. «Ego Ludovicus misericordiâ Domini Dei nostri et electione populi rex constitutus... polliceor servaturum leges et statuta populo, etc181 page 316 Le moine de Saint-Gall fait dire

96 page 287 Henri II déclara l'Angleterre fief du saint-siège... «Præterea ego et major filius meus rex, juramus quod a domino Alexandro papa et catholicis ejus suceessoribus recipiemus et tenebimus regnum AngliæBaron. Annal., XII, 637.

Du reste, la royauté politique fut seule supprimée; la royauté religieuse était sainte et devait durer. Aussi se hâta-t-on de nommer un roi, mais qui ne fut roi que pour les sacrifices, rex sacrorum. On prit toutes les précautions imaginables pour que ce roi-prêtre n'abusât jamais du grand prestige que ses fonctions lui donnaient pour s'emparer de l'autorité. Aristote, Politique, III, 9, 8.