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Mis à jour: 5 mai 2025


Note C15: (p. 104). Hobbes, philosophe anglais du XVIIe siècle, auteur du Leviathan, ouvrage singulier sous ce nom qui désigne dans l'

Et nous apercevons, dans le plus noir de l'arbre, Les Hobbes contemplant avec des yeux de marbre, Les Kant aux larges fronts; Leur cognée

Note C16: (p. 104). «Hobbes demande...» Hobbes avait dit que l'état naturel de l'homme est la guerre et que la loi primitive a été la guerre de tous contre tous, et pour le prouver, il disait que les hommes vont armés. Montesquieu, comme on le voit, soutient le contraire. Il est certain que même chez les animaux il y a quelquefois des guerres de troupe

Le doute, roche nos pensées Errent loin du pré qui fleurit, vont et viennent, dispersées, Toutes ces chèvres de l'esprit! Quand Hobbes dit: «Quelle est la baseQuand Locke dit: «Quelle est la loiQue font

Le despotisme est une forme abusive de la monarchie; c'est cette forme basse de gouvernement, la dernière de toutes, suivant Platon , , par faiblesse et par amour excessif du repos, les citoyens abandonnent tous les pouvoirs au souverain, lui mettent entre les mains une force irrésistible, et ne se réservent que l'obéissance sans limites. Un tel gouvernement ne repose que sur la crainte. C'est celui que Hobbes rêvait comme le modèle des gouvernements, mais qui en est en réalité le plus imparfait; car il est contradictoire. En effet, l'homme ne peut sacrifier la liberté que pour le repos. Mais le repos est impossible sans sécurité; et la sécurité est incompatible avec la crainte. Ainsi, un gouvernement qui, par hypothèse, reposerait sur l'extrême crainte, détruirait par l

la vérité, ce n'est point par une nécessaire liaison d'idées, mais par une rencontre accidentelle, que nous voyons les doctrines révolutionnaires associées chez nous au matérialisme le plus franc et le plus cru: car celui-ci pourrait aussi bien, et même mieux, avoir pour conclusion, en politique, la monarchie absolue; et c'était, notamment, l'avis de l'Anglais Hobbes. Non, il n'y a aucune raison, en bonne logique, pour que l'

Faustus évoque, dans son inquiétude, le lointain souvenir des connaissances humaines. D'abord, il se remémore les systèmes philosophiques de l'antiquité grecque; puis il passe en revue les alexandrins, les scolastiques. Enfin il affronte les modernes, Bacon, Descartes, Pascal, Spinoza, Leibnitz, Locke, Berkeley, Hobbes, Hume, Kant, Fichte, Hegel, Schopenhauer, Comte... Celui-ci l'arrête, lui interdit les spéculations métaphysiques et lui impose une vue générale du savoir humain. Mais cette philosophie ne le conduit pas

Il les écouta citer les philosophes dont il connaissait au juste le nom. Volney, Condillac, lui révéleraient aussi le monde. Il se promit de lire leurs ouvrages, s'attrista de ne les point connaître. Gresloup parla de Hobbes, de sa maxime: «l'homme est un loup pour l'homme»; parce qu'au milieu d'un bourg ils entraient,

L'Angleterre, qu'on ne l'oublie pas, n'était pas en 1705, ni même beaucoup plus tard, ce qu'elle est de nos jours. L'ensemble était très confus et parfois très oppressif; Daniel de Foë, qui avait tâté du pilori, caractérise quelque part l'ordre social anglais par ces mots: «les mains de fer de la loi». Il n'y avait pas seulement la loi, il y avait l'arbitraire. Qu'on se rappelle Steele chassé du parlement, Locke chassé de sa chaire; Hobbes et Gibbon, forcés de fuir; Charles Curchill, Hume, Priestley persécutés; John Wilkes mis

Le second effet de son malheur, c'était de le rendre méchant. Il était méchant en effet, parce qu'il était sauvage; il était sauvage parce qu'il était laid, il y avait une logique dans sa nature comme dans la nôtre. Sa force, si extraordinairement développée, était une cause de plus de méchanceté. Malus puer robustus , dit Hobbes.

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cuthbert

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