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[Note 710: Ce poëme, imprimé sans date, mais probablement vers la fin du quinzième siècle, sous te titre: ALTERCATIONE, overo Dialogo composto dal magnifico Lorenzo di Piero, di Cosimo de' Medici, etc. in-12, n'ayant jamais été réimprimé, était devenu si rare qu'il ne se trouve ni dans la Bibliothèque italienne de Fontanini, ni dans celle de Haym, ni dans le Catalogue de Floncel, ni dans aucune Bibliographie. Il remplit quarante pages in-4°. de la belle édition des Poésies de Lorenzo de' Medici, donnée

Le 27, au matin, le général Medici, avec sa division, qu'une proclamation du Dictateur avait porté, le jour même de la bataille de Milazzo,

Lorenzo di Medici ragionando d'vna cena che gli fu fatta, disse che fra le altre cose, che erano in detta casa, doue detta cena fu fatta, il piu fredo luogo che fusse era il camino, e il piu caldo luogo era il pozzo.

Lorenzo di Medici domandando da Vgolino Martelli perche si leuasse la mattina tardi, rispose domandando gli che cossa hauesse fatto quella mattina: e contando gli alcune cosse legiere gli disse, E val piu quello che io ho pensato fra il letto, che quello che tu hai fatto tutto hoggi.

[Note 134: «Che ella se ne passava tanto bene, che plu non si poteva imaginareFerrai, Lorenzino de Medici e la Societ

Une seconde proclamation, annonçant l'approche de Medici et son entrée dans la ville pour le lendemain, eut un peu plus de succès. On vit quelques matelas franchir timidement les portes de Messine.

La villa Medici, qu'habitent les pensionnaires et le directeur de l'Académie de France, fut bâtie en 1557 par Annibal Lippi; Michel-Ange ensuite y ajouta une aile et quelques embellissements; elle est située sur cette portion du Monte Pincio qui domine la ville, et de laquelle on jouit d'une des plus belles vues qu'il y ait au monde. À droite, s'étend la promenade du Pincio; c'est l'avenue des Champs-

Trois jours après, l'on apprenait l'arrivée de la colonne Medici

Ambroise Pannochi deuisant aueq Laurens de Medicis du gouuernement des Sienois, dit, ie croy qu'ilz sont saintes gens, en qu'ilz viuent de miracles. Ambrosio Pannochi, ragionando con Lorenzo di Medici del gouerno de Senesi, gli disse, io credo che sono tutti santi, e che viuono de miracoli.

Contauasi questa nouella, in preferenza di Lorenzo di Medici, e vno certo dicendo che era costuma de dare le buffe quando se fanno le nozze, rispose Lorenzo: questa vsanza è quando si da l'annello non quando si toglie. Vn Iuif interrogué, s'il trouuoit (vn Sabmedy) dix mil ducatz,