Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 19 mai 2025
Note 595: Je remarque encore ici la concision de notre chroniqueur, quand il s'agit de l'oriflamme. Le passage de Nangis que Du Cange n'a pas cité dans sa dix-huitième dissertation sur Joinville est cependant fort curieux, surtout dans le texte françois qui, comme on le croit, est également de Nangis. Voici d'abord le latin: «Itaque martyros... devotissimè... interpellans, vexillum de altario S. Dyonisii, ad quod comites Vulcassini spectare dignoscetur» (ces termes sont précisément ceux de la lettre patente de Louis-le-Gros, en 1124) «quem etiam comitatum rex Franciæ debet tenere de dictâ ecclesiâ in feodum, morem antiquum antecessorum suorum servare volens, signiferi jure, sicut comites Vulcassini soliti erant suscipere, suscepit.» Ce passage prouve seulement que les comtes du Vexin étoient les anciens porte-oriflammes, et que le roi, en devenant comte du Vexin, n'avoit pas répudié le service de ses prédécesseurs. Mais le texte françois va nous prouver, ou je me trompe fort, que cet oriflamme n'étoit pas la bannière particulière de l'abbaye, mais bien celle de la France. Ecoutons: «Et prist... sus l'autel l'enseigne Saint-Denis, laquelle apartient au comte de Vesquessin, et laquele conté li rois de France doit tenir en fief de l'églyse Saint-Denis, aussi come li conte de Vesquessin souloient faire, qui portoient anciennement la bannière aus rois de France, pour la raison de leur fiè.» Est-ce clair, et contestera-t-on avec Du Cange le sens de la charte du roy Robert? dira-t-on encore en dépit du more antecessorum de Louis-le-Gros, que l'oriflamme ne parut dans les armées du roi de France qu'
Greg. Tur., l. III, c. II: «Cùm populus (Arvernorum) sanctum Quintianum, qui de Rutheno ejectus fuerat, elegisset, Alchima et Placidina, uxor sororque Apollinaris, ad sanctum Quintianum venientes, dicunt: «Sufficiat, domine, senectuti tuæ quod es episcopus ordinatus. Permittat, inquiunt, pietas tua servo tuo Apollinari locum hujus honoris adipisci...» Quibus ille: «Quid ego, inquit, præstabo, cujus potestati nihil est subditum? sufficit enim ut orationi vacans, quotidianum mihi victum præstet ecclesia.» Les Avitus semblent n'avoir été pas moins puissants. Leur terre portait leur nom (Avitacum. Sidonius en donne une longue et pompeuse description (carmen XVIII). Ecdicius, le fils d'Avitus, semble entouré de dévoués. Sidonius lui écrit (l. III, Ep. III): «... Vix duodeviginti equitum sodalitate comitatus, aliquot millia Gothorum... transisti... Cùm tibi non daret tot pugna socios, quot solet mensa convivas.» Le nom même d'Apollinaire indique peut-être une famille originairement sacerdotale. Le petit-fils de Sidonius, le sénateur Arcadius, appela en Auvergne Childebert au préjudice de Theuderic , préférant sans doute sa domination
Libera me Domine... In ecclesia, ante altare pannus niger. Presbyter cum palla terram super quemlibet pedum ejus perducit dicendo: Sis mortuus mundo, vivens iterum Deo.» Rituel du Berri, Martène, II, p. 1010. Plusieurs rituels défendirent plus tard ces lugubres cérémonies, celui d'Angers, de Reims.
[Note 264: «Si vero aliquis in ecclesia, quæ votum suscepit, fuerit qui non votum fecerit, potest ducere, sed in ecclesia illa officium non exercebit, quod est, parochiam non tenebit.» p. 91. Tout ceci prouve que le célibat des prêtres, quoique estimé et habituellement prescrit, n'était pas une règle Commune
Lorsqu'ils eurent fait quelques pas, ils s'arrêtèrent devant la tribune de l'ambassadeur du pape Alexandre VI. L'évêque se leva, prit le frère Savonarole par la main et récita les paroles d'excommunication d'une voix mal assurée, sans lever les yeux sur le moine qui le fixait. Il intervertit la dernière phrase: Separo te ab Ecclesia militante atque triumphante.
Sit ecclesia A, imperium B, autoritas sive virtus imperii C. Si non existente A, C est in B, impossibile est A esse caussam ejus quod est C esse in B; cum impossibile sit effectum prœcedere caussam in esse.
«Condoeus proesens nuper publice processus est, in ecclesia gallica quæ est Argentorati, se gravissime Deum in eo offendisse, quod post illam parisiensem stragem, metu mortis, ad sacra pontificia accesserit, et petiit
A la fin du volume, il écrivit en grosses lettres: «ECCLESIA CATHOLICA. Association universelle. ECCLESIA LUTHERANA. Société de maître Luther.» Puis il se prit
Mot du Jour
D'autres à la Recherche