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Mis à jour: 29 juin 2025


Le poëte, chez Nodier, est déj

Anonyme bernois: Les deux filles épouvantées suivent ses pas incertains. Goethe: Aengstlich folgen ihr zwei liebe Tõchter. Nodier: Mais ses petites filles tremblantes se sont attachées

La confession achevée, toute la famille entra. Nodier était dans une alcôve sombre, d'où il étendait les bras sur sa femme, sur sa fille et sur ses petits-enfants. Derrière la famille étaient les domestiques. Derrière les domestiques, la bibliothèque, c'est-

D'après Nodier, Jean Sbogar est un personnage historique «dont la renommée aventureuse remplissait encore les

Vous avez atteint et dépassé les limites du sublime. Vous êtes inintelligibles pour les autres comme pour vous-mêmes. Nodier pâlit, Rabelais ne serait que de la Saint-Jean, et Sainte-Beuve baisse pavillon devant vous.

Aujourd'hui même, d'éminents académiciens croient sérieusement que c'était «d'Illyrie encore» que Nodier rapporta Smarra.

D'ailleurs, plein de systèmes, paradoxal, avec enthousiasme, mais pas le moins du monde propagandiste, c'était pour lui-même que Nodier était paradoxal, c'était pour lui seul que Nodier se défaisait des systèmes; ses systèmes adoptés, ses paradoxes reconnus, il en eût changé, et s'en fût immédiatement fait d'autres.

IV. Autres Pays. Outre la version de Fortis, il existe d'autres traductions italiennes: de P. Cassandrich, dans les Canti popolari epici serbi, Zara, 1888, pp. 195-202; de N. Jakšić, de Zarbarini, etc. George Ferrich a mis la Triste ballade en hexamètres latins, dans son Epistola ad Joannem Muller, Raguse, 1798, pp. 17-20. Il s'est servi de la traduction italienne de Fortis . Le poète hongrois bien connu, François Kazinczy a traduit le Klaggesang de Goethe en sa langue maternelle. La ballade est traduite aussi en tchèque, par S.R. Slovak, et en russe (deux fois: par Vostokoff et, en partie, par Pouchkine). Une version espagnole figure, sans doute, dans la traduction de Smarra de Charles Nodier, parue

Nodier, bien que sentimental, n'insista jamais trop sur ce point. Mérimée sut-il être le poète de la famille illyrique?

C'est ainsi qu'il nous faut, tout d'abord, faire remarquer la concision de la version de Mérimée. Tandis que l'anonyme bernois qui a traduit le Voyage en Dalmatie, avait eu besoin de 687 mots pour rendre en français le poème serbo-croate, tandis que Ch. Nodier n'en avait pas employé moins de 991, Mérimée se contenta de 629, sans rien omettre de ce qui se trouvait dans l'original.

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