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Mis à jour: 14 mai 2025
Selon une habitude assez inconvenante, mais très commode quand on ne connaît rien d'une ville, je me renseignai auprès de plusieurs passants. Pour mon étonnement, les cinq premiers ne comprenaient pas un mot d'allemand, mais seulement le tchèque.
Dussek est un des ancêtres de cette sorte de féodalité artistique tchèque et slave. Fils d'un musicien distingué, organiste et maître de chapelle de l'église collégiale de Craslau en Bohême, il naquit dans cette ville, le 9 février 1761. Son père l'initia, dès l'âge de cinq ans,
Tout est perdu! lui répondirent en russe, en allemand, en tchèque tous ces fuyards, comprenant aussi peu que lui ce qui se passait autour d'eux. Qu'ils soient rossés, ces Allemands! Que le diable les écorche, ces traîtres!» répondit un autre. Que le diable emporte ces Russes!» grommelait un Allemand. Quelques blessés se traînaient le long du chemin.
Agréez, madame, avec mes remerciements, l'expression de mes sentiments affectueux et dévoués. La traduction du Consuelo en langue tchèque. Palaiseau, 25 mai 1866. Mon cher ami,
Dans le programme de Balakirev, figurait entre autres l'introduction de Rousslan, le chœur du Prophète, l'ouverture du Faust de Wagner (la seule pièce de cet auteur appréciée dans notre groupe), l'ouverture tchèque de Balakirev, ma fantaisie serbe et enfin mon Sadko. Sadko passa avec succès; l'orchestration satisfit tout le monde et je fus rappelé
IV. Autres Pays. Outre la version de Fortis, il existe d'autres traductions italiennes: de P. Cassandrich, dans les Canti popolari epici serbi, Zara, 1888, pp. 195-202; de N. Jakšić, de Zarbarini, etc. George Ferrich a mis la Triste ballade en hexamètres latins, dans son Epistola ad Joannem Muller, Raguse, 1798, pp. 17-20. Il s'est servi de la traduction italienne de Fortis . Le poète hongrois bien connu, François Kazinczy a traduit le Klaggesang de Goethe en sa langue maternelle. La ballade est traduite aussi en tchèque, par S.R. Slovak, et en russe (deux fois: par Vostokoff et, en partie, par Pouchkine). Une version espagnole figure, sans doute, dans la traduction de Smarra de Charles Nodier, parue
Il est toujours amusant de voir un Tchèque ou un Polonais offrir du fond de son coeur
À Prague, on ne parle que le tchèque. Mais lorsque vous parlerez français, ceux qui sauront vous répondre le feront toujours avec joie. Il m'indiqua un hôtel situé dans une rue dont le nom est orthographié de telle sorte qu'on le prononce Porjitz, et prit congé en m'assurant de sa sympathie pour la France. Peu de jours auparavant, Paris avait fêté le centenaire de Victor Hugo.
Je note un fait curieux, qui montre où en sont arrivées ces animosités des races. Les Tchèques de Vienne, et ils sont au nombre de trente mille, dit-on, demandent un subside pour y fonder une école où le tchèque serait la langue de l'enseignement. Au sein du conseil provincial, le recteur de l'université de Vienne appuie la requête.
Il est vrai qu'ils furent vassaux de l'Empire, et la couronne de Bohême, qui était élective, finira par se fixer sur la tête de princes allemands, les Habsbourg; mais la destinée des Tchèques fut très différente de celle des Slaves du Nord. Ils ont gardé leur race, leur langue, leur esprit particulier. C'est pour cela qu'il existe aujourd'hui pour l'Autriche une question tchèque.
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