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«Agréez, monsieur, etc. Une semblable lettre est faite pour me flatter et surtout pour m'embarrasser. Mais,

Aujourd'hui le Grand Seigneur m'a fait écrire pour vous demander vingt officiers d'artillerie et quatre du génie: c'est beaucoup, mais ils en ont grand besoin; et je vous prie d'en envoyer le plus que vous pourrez et le plus tôt possible. Agréez mon dévouement et mon attachement.» S

J'espère, car je crois en vous. Agréez, monsieur, l'expression de ma vive reconnaissance. Celle qui vous honore et qui vous bénit, M. Victor Hugo a répondu: Paris, 2 février 1876. Ne désespérez pas, madame. L'amnistie approche. En attendant, je ferai tous mes efforts pour empêcher ce fatal départ du 1er mars. Comptez sur moi. Agréez, madame, l'hommage de mon respect,

Agréez en même temps, chère mère, tous mes voeux et mes embrassements du jour de l'an; ayez une bonne santé, de la gaieté, et venez nous voir, voil

«Agréez l'hommage bien sincère de la plus tendre amitié.

Agréez, monsieur, l'assurance de la considération distinguée avec laquelle j'ai l'honneur de vous saluer. Jules Boucoiran, précepteur de Maurice, puis ami intime de la famille. Plus tard, rédacteur en chef du Courrier du Gard. Duris-Dufresue, député de l'Indre. Nohant, 1er octobre 1829. Mon cher Caron,

Agréez, etc. Nouveaux accès de maladie. Désespoir. Rose ou l'honnête courtisane. Tous mes lecteurs ne savent pas combien il est doux de se voir imprimé pour la première fois, de recevoir un premier éloge des journaux.

«Agréez, etc.» M. Dupin aîné donne ensuite lecture d'un devis fourni par MM. Préault et Lassus. Ce devis est suivi d'un engagement formel, pris par M. Préault, d'exécuter

«Agréez... «La Directrice, La grâce d'une femme!... C'est possible quoique j'aie vraiment beaucoup de barbe et une culotte qui en a vu de dures et fait un sacré bourrelet par-derrière. J'ai fait connaissance de Mariani, qui était jadis chroniqueur

Agréez, etc. Paris, le 2 décembre 1813. Prince, j'ai mis sous les yeux de S. M. la lettre que V. Exc. a adressée au duc de Bassano. La France, en acceptant sans restriction comme bases de la paix, l'indépendance des nations, tant sous le point de vue du continent que sous celui des mers, a déj