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Mis à jour: 24 juin 2025
Agréez, monsieur, l'assurance de la considération distinguée avec laquelle j'ai l'honneur de vous saluer. Jules Boucoiran, précepteur de Maurice, puis ami intime de la famille. Plus tard, rédacteur en chef du Courrier du Gard. Duris-Dufresue, député de l'Indre. Nohant, 1er octobre 1829. Mon cher Caron,
George Sand avait chargé Boucoiran de voir son fils et d'envoyer
Serez-vous assez bon pour conduire son frère auprès d'elle quand il voudra et pour le ramener chez Buloz ensuite, ou au moins pour surveiller ses allées: et venues, de manière qu'il ne soit qu'avec des personnes sûres, qui ne le perdront pas en chemin. Je compte sur vous, sur Papet, sur Boucoiran et sur Buloz.
Bientôt tu auras Boucoiran, qui t'aime bien aussi et qui te fera travailler, sans te fatiguer. Tu dois bien savoir qu'il n'est pas méchant; il ne faut pas que tu aies du chagrin pour cela. Quand tu travailles bien, tu sais comme on te caresse et comme tout le monde est content; ton papa et ta maman surtout, qui seraient si heureux de te voir bien savant et bien aimable!
Dans une lettre de la même date, elle gronde son fidèle Boucoiran, de lui mal parler de Musset. Jamais aucun mépris pour lui n'est entré dans son coeur. «Vous me dites qu'il se porte bien et qu'il n'a montré aucun chagrin. C'est tout ce que je désirais savoir... Tout mon désir était de le quitter sans le faire souffrir. S'il en est ainsi, Dieu soit loué !»
Boucoiran nous est arrivé avant-hier, et Rollinat hier, tous deux bien désolés de ne pas te trouver
Adieu, mon cher enfant; travaille toujours, écris-moi souvent, embrasse pour moi ton papa, Boucoiran et ta petite soeur. Je vous aime tous deux par-dessus tout et je vous embrasse mille fois. Paris, 4 mars 1831. Mon cher enfant,
De son côté, George Sand est partie pour Nohant. Elle y éprouve comme lui un sentiment de délivrance. Son ami Boucoiran, qui a su la rupture, l'en félicite et elle lui répond: «Je ne vais pas mal, je me distrais et ne retournerai
D'abord, je m'en soucie fort peu; ensuite, c'est une raison certaine pour qu'elles ne me parviennent pas. Milan, 29 juillet 1834. Mon gros minet, Boucoiran m'a écrit que la distribution des prix serait pour le 28 août; toi, tu m'as écrit que ce serait le 18. Je ne sais lequel de vous deux se trompe.
Néanmoins mon courage n'est pas mort; mais, pour le moment, je souffre beaucoup d'être loin de mes enfants depuis si longtemps. J'ai été dans une grande inquiétude par le silence de Boucoiran, lequel silence dure encore, je ne sais pourquoi. J'ai reçu enfin une lettre de Gustave Papet, qui en contenait une de Maurice, et une de Laure Decerf, qui me donne d'excellentes nouvelles de Solange.
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