Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !

Mis à jour: 15 juillet 2025


La dernière eut lieu en 1782, au commencement de décembre, en l'absence du P. Viel. Elle fut provoquée par le despotisme d'un préfet de vingt ans qui, s'essayant dans l'autorité, se fit mettre

C'était bien dans cette maison, en effet, que soixante ans plus tôt le viel Abd-er-Rhaman avait été

Après vingt ans d'absence, le P. Viel, qui s'était réfugié en Amérique

À côté des valises, la courroie rejetée sur sa blouse bleue, il a l'air d'un pot de faïence de Delft ou d'un vieux hibou. Eh bien! qu'attendez-vous? lui crie Avertie. Schnell!!! Schnell!!! Nein. Quoi, Nein? Kann nicht das tragen, zu viel! dit-il avec placidité, en montrant d'un signe de tête le tas des sacs jaunes. Appelez un camarade. Nein, zu viel.

Le P. Viel était non seulement bon professeur de littérature, mais, joignant l'exemple au précepte, il était bon versificateur, en latin s'entend.

C'était «ung arceau incrusté de piastre, painct en «dehors rudement d'une danse de femmes et satyres accompaignans le viel Silenus riant sur son asne», comme dit un auteur du temps. L'ouvrage n'était ni délicat ni recherché d'invention, mais la composition était naïve et l'exécution vaillante, l'artiste ne bronchant devant aucune difficulté, mais les enjambant

Le chapitre de Notre-Dame fit briser ces verrières, dont le père Dubreul parle comme d'une merveille; ce fut un certain Le Viel, maître-vitrier, fort versé dans la théorie de la peinture sur verre, auteur d'un Traité pratique et historique sur cet art , qui fut chargé de remplacer cette magnifique décoration par des verres blancs, entourés de bordures fleurdelisées. Nous ne savons si le sieur Le Viel comprenait ainsi la partie pratique et historique de son art; mais ce qu'il y a de curieux, c'est que ce malheureux ouvrier fut tellement satisfait de son oeuvre de destruction, qu'il peignit sur l'une des verrières une longue inscription latine, dans laquelle il dit pompeusement que les vitraux ont été refaits en verres blancs de France, et les bordures en verres bleus de Bohême; il termine ainsi: «Le tout fait et peint par Pierre et Jean Le Viel frères, maîtres-vitriers

Non loin de mon Royaume un viel & sage Prince Gouvernoit en repos une grande Province, Et sa magnificence y tenoit une Cour Qui la rendoit aymable aux Princes d'alentour, J'y vins, & n'y vis point de si rare merveille Que l'Infante sa fille en beauté nompareille, Dont le regard modeste, amoureux & vainqueur, Qui sembloit me sommer de luy rendre mon coeur, M'osta d'abord l'envie & le temps de combatre; Elle pouvoit compter trois lustres, & moy quatre; Bref mon bon-heur fut tel que mon feu l'enflama, A force de l'aymer je croy qu'elle m'ayma.

Vers moy venez en larrecin, Et me robez plaisance lie; Suis je destiné, en ma vie, D'estre tousjours en tel hutin. En verray je, etc. Soupper ou baing, et disner ou bateau, En ce monde n'a telle compaignie, L'un parle, ou dort, et l'autre chante, ou crie, Les autres font balades, ou rondeau. Et y boit on du viel et du nouveau, On l'appelle le desduit de la pie. Soupper ou baing, etc.

Note 352: Hardré. Ce nom d'Hardré est devenu célèbre dans les vieilles poésies françoises parmi ceux des traîtres. La chanson de Garin le Loherain nous le présente comme le chef de la race des Fromont de Gascogne, ennemis mortels des Lorrains. D'autres poèmes le citent comme l'un des principaux membres de celle de Ganelon. La famille du viel Hardré étoit même une expression proverbiale qui s'appliquoit généralement

Mot du Jour

offero

D'autres à la Recherche