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Mis à jour: 26 juillet 2025


Ah! divine merveille, Vous pouvez aujourd'huy me rendre la pareille Et par vostre bonté me conserver le jour. Dites moy vostre mal. Madame c'est amour, Et le coup dont je meurs vous rend interessee Puisque c'est par vos yeux que mon ame est blessee

Ainsi pourrez departir du povoir Du Dieu d'amours, sans avoir charge aucune; C'est mon conseil, faictes vostre vouloir, Mais gardez vous que ne croiez Fortune Qui de flater est

Il luy presente son espée. Tenez voila de quoy contenter vostre enuie, Vangez-vous Celiane, arrachez-moy la vie, Et par mon sang coupable

«Monsieur mon cousin, écrivait l'électeur au père de la jeune princesse , ce gentilhomme, présent porteur, vous dira comme il a laissé ma cousine, vostre fille, en ma maison, je l'ay receue et veue bien volontiers, pour la bonne affection que j'ay congneu qu'elle a, tant

30 septembre 1617. Monsieur, Je viens de recevoir vostre lettre de hier, par le courrier que vous m'avez dépesché. Vous pouvez juger par la qualité de la nouvelle que vous m'avez mandée, quelle est l'affliction qu'elle, m'a causé, autant pour l'affection et la tendresse que j'ay pour M. le mareschal de Gascion, que pour le préjudice que le service du roy peut souffrir de cet accident. Vous avez fort bien fait de ne pas perdre un moment de temps

Pour ce qui est de vostre tableau et de la justice du roy, Monsieur le satyrique, nous en demourons l

»Vostre très humble et obéissante fille. Groen van Prinsterer, Corresp., 1re série, t. V, p. 230.

A vostre loz j'ay dict qu'avez l'Empire C'est tout aussi que de vous je puis dire, Mais pour oster le moyen

Le vostre benemerite ruine Son gl'amici perduti, sciagurate: O poverette, o mendiche, o meschine, O ladre, o brutte, o giotte, o scelerate, Credete hora al Venier: mutate vita, Se non il ponte a star seco v'invita. Ma son ben pazzo ad esortarvi, e dire Che diventiate gentili e divine.

Vous savez que, par franc desir Et loyal amour conseillée, Me deistes que, sans departir, De m'amer estiez fermée; Tant comme j'auroye durée. Je metz en vostre jugement Se ma bouche dit vray ou ment; Si tiens que parler de princesse Vient du cueur, sans decevement, Ma dame, ma seule maistresse.

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