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Leipzig, Tauchnitz. THACKERAY. The English Humourists, by William Makepeace Thackeray. London, Smith, Elder and Co, 1878. VILLON. OEuvres complètes de François Villon.

[Footnote 254: Villon. L'

L'importance de ce maniement tout personnel de la langue est très grande. Il est aisé de s'en assurer. Quand Villon représente de pauvres orphelins «tous despourveus et dénuez comme le ver », des pendus, «plus becquetez d'oiseaux que dez

Aux lettrés, s'offrent aussi de délicates éditions de bibliophiles. Il y a la merveilleuse collection Louis Conard si souvent louée ici des Oeuvres complètes de Balzac, illustrées par Huard. Et il y a aussi la merveilleuse «bibliothèque du XVe siècle», de l'éditeur Champion, ce Mécène des lettres françaises du temps passé. La série vient de s'enrichir d'un très important ouvrage sur Villon en deux volumes par M. Pierre Champion, l'un de nos plus sympathiques chartistes. On connaît sur Villon l'excellent petit livre de Gaston Paris. On sait aussi les précieuses découvertes d'Auguste Longnon et les patientes et précises recherches de Marcel Schwob, mort

Defauconpret a beaucoup traduit; il a traduit quatre cent vingt-deux volumes. Marius Claveton a peut-être traduit encore plus de volumes que Defauconpret, car Marius n'a «ne cens, ne rente, ne avoir», comme ce bon larron de Villon. Marius vit

Il est fou, dites-vous? je le crois bien. Et si je doutais qu'il le fût, je déchirerais les pages que je viens d'écrire. Certes, il est fou. Mais prenez garde que ce pauvre insensé a créé un art nouveau et qu'il y a quelque chance qu'on dise un jour de lui ce qu'on dit aujourd'hui de François Villon auquel il faut bien le comparer: «C'était le meilleur poète de son temps

[Note 53: Voyez l'Envoi de la ballade de Villon

Rencontre singulière: c'est, presque dans les mêmes termes, la plainte du pauvre Villon: Bien sçay se j'eusse estudié Ou temps de ma jeunesse folle, Et

Il ne faudrait pas insister démesurément sur le premier exemple que j'en donnerai, mais il ne faut pas non plus le passer sous silence. En France, on ne trouverait pas un seul universitaire qui proposât de mettre intégralement Villon ou Régnier au programme de nos lycées; on se rappelle les justes clameurs que souleva un corps non universitaire pour avoir donné en prix certains livres. L'Italie est beaucoup moins d'accord sur ce point. Comme elle a eu ses grands hommes plutôt que nous, par suite,