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Très ému, je serre les mains du vieillard. Quand croyez-vous qu'on rouvrira les lycées, monsieur Merlin? Bientôt, probablement.

Et vous apercevez tout de suite que cette liberté dans l'organisation des sociétés présente un phénomène très nouveau dans nos établissements scolaires français. J'ai été frappé de ce fait que partout il y avait une centralisation absolue dans les lycées, dans les collèges, dans les écoles libres, congréganistes, j'ai observé ce fait particulier que les élèves étaient toujours groupés au gré de l'autorité qui les domine. La centralisation est partout et c'est ce que je ne puis accepter. Aussi me suis-je promis que, quand j'aurais un ensemble

Il n'est pas bien étonnant que le roman contemporain ait abordé si tard l'étude du prêtre et qu'un seul de nos romanciers ait poussé cette étude un peu loin. J'y vois une première raison très simple. La plupart de nos écrivains ont été élevés dans les lycées, ont renoncé de bonne heure aux pratiques de la religion, ne hantent point les églises ni les presbytères.

Moins d'uniformité, moins de bureaucratie, un peu de liberté: c'est le voeu général qui se dégage de l'enquête. Les lycées étouffent sous la centralisation. On n'a fait, depuis dix ans, que la rendre plus pesante. On s'est appliqué

Il ne faudrait pas insister démesurément sur le premier exemple que j'en donnerai, mais il ne faut pas non plus le passer sous silence. En France, on ne trouverait pas un seul universitaire qui proposât de mettre intégralement Villon ou Régnier au programme de nos lycées; on se rappelle les justes clameurs que souleva un corps non universitaire pour avoir donné en prix certains livres. L'Italie est beaucoup moins d'accord sur ce point. Comme elle a eu ses grands hommes plutôt que nous, par suite,

LA RAISON veut qu'en attendant l'entier accomplissement de la présente loi, les femmes s'abstiennent de lire, et même d'assister aux séances publiques ou particulières des Instituts, Académies, Cercles ou Sociétés littéraires, Portiques ou Veillées des Muses, Musées, Lycées, Prytanées, Athénées,... etc.; comme aussi de suivre les cathéchismes et les cours, de hanter les bibliothèques,.... etc. Ce n'est pas l

II, p. 295. Nous avons vu, a dit M. Ribot devant la Chambre des députés, et cela sautait aux yeux, que dans nos lycées s'était introduit un système de centralisation poussé si loin, avec une minutie bureaucratique si perfectionnée, que nos proviseurs, les chefs de nos établissements, ceux qui ont la charge de développer l'initiative chez les élèves,

Or, ce goût déprave du public contemporain vient de l'état intellectuel de la génération présente. Dépourvue de toute culture la plus élémentaire en Logique et en Ontologie car on ne les enseigne plus dans nos lycées ni nos collèges, elle se laisse facilement séduire par toutes les nouveautés et les hardiesses de l'imagination.

Si grand est le nombre des élèves qui sortent des lycées et collèges sans être en état de lire un texte latin, grec, anglais ou allemand, que notre système d'études serait vraiment criminel si ces élèves n'avaient tiré cependant quelque sérieux profit des efforts qu'ils ont faits et du temps qu'ils ont consacré pour les apprendre sans parvenir

Enfin, que la taxe du vingtième des frais d'études levée sur tous les élèves des lycées, collèges et pensions, et appliquée