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Mis à jour: 28 mai 2025


N'est pas honnête homme qui veut bien, et, mourir pour mourir, autant vaut se pâmer au bout d'une corde que de râler sa dernière heure sur un lit de plume. Décidément Mike était un philosophe de l'école des optimistes, et certes, il ne manquait qu'un peu d'érudition pour composer son épitaphe comme feu Villon, ou pour disserter sur l'excellence de ce monde comme le brave docteur Pangloss.

À regret, elle se leva; méfiante, elle s’approcha: Quel tour de Villon, quelle farce vas-tu me faire encore? Je lui tendis les bras. Allons, dis-je, baise-moi. Et le cadeau? dit-elle. Tu l’as, tu l’as, c’est moi. Joli cadeau! Le bel oiseau! Vilain ou beau, tout ce que j’ai je te le donne, je me rends, sans conditions,

Turgot, par M. Léon Say, et Voltaire, par M. Ferd. Brunetière, sont sous presse. On annonce ensuite: Villon, par M. Gaston Paris; d'Aubigné, par M. Guillaume Guizot; Rousseau, par M. Cherbuliez; Joseph de Maistre, par le vicomte Eugène Melchior de Vogüé; Lamartine, par M. de Pomairols; Balzac, par M. Paul Bourget; Musset, par M. Jules Lemaître; Sainte-Beuve, par M. H. Taine; Guizot, par M. G. Monod, Boileau, par M. Brunetière, qui se trouve ainsi chargé de deux études. Ce que j'en dis l

Busard se contente de démarquer le talent des autres ou, plus simplement, de les dépouiller en bloc, sans discernement et sans choix, car il est incapable même d'apercevoir le talent. On se rappelle cet important, ce définitif travail, tant annoncé, sur Villon, sur sa vie et son temps, renforcé de pièces inédites et de toutes les herbes de la Saint-Jean de l'érudition.

Multa cadunt inter calicem supremaque labra, et je suis l'avis de mon vieux Villon, «Rien ne m'est seur que la chose incertaine...» À l'accent du procureur de la République, M. Daveline comprit bien qu'il ne gagnerait rien

Quelque étrange que cela paraisse, c'est de ces quatre éléments que sont formés tous les corps organiques, l'essence odorante qui gonfle les pétales d'une rose, la pulpe savoureuse des fruits, la poussière colorée des ailes d'un papillon, ou, pour parler comme François Villon, ce corps féminin «qui tant est tendre, poly, souëf, si prétieulx». Seule la secrète architecture de ces édifices d'atomes varie.

Le seigneur de Basché était un viveur, une espèce de comte Ory, qui conservait les traditions de Villon, et faisait refleurir les compagnons de la franche lipée. Grand dépensier, il mangeait comme Panurge son blé en herbe, et ne payant jamais ses dettes, il avait souvent maille

Vermesch, en ressuscitant le Père Duchêne, j'en suis certain, n'a pas, une seconde, prévu son importance folle et ses effroyables conséquences. Il a voulu pasticher Hébert, comme il avait pastiché Villon, Rabelais, Hugo, Leconte de l'Isle, etc...

Tous ces rapprochements singuliers d'idées ou de mots, non seulement l'opulence ou la bizarrerie de la rime en double l'effet, mais c'est presque toujours la rime qui les suggère. Voici les premiers vers de la Ballade des célébrités du temps jadis, parodie de la ballade de Villon: Dites-moi sur quel Sinaï Ou dans quelle manufacture Est le critique Dufaï.

Le suc poétique, si je puis dire ainsi, exprimé par Charles d'Orléans, a été soigneusement recueilli par Villon et par Marot; le premier y a déposé sa franchise quelque peu cynique, et le second sa verve étincelante, son vers correct et les traditions des littératures grecques, et et latines qui renaissaient. Ces trois éléments combinés dominent toute la poésie du seizième siècle. Ainsi pour apprécier, sous tous ses aspects, le livre de Charles d'Orléans, il faudrait analyser ces trois individualités et montrer l'effet qu'elles durent produire confondues. Nous laissons ces questions de haute critique

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