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Mis à jour: 2 juin 2025
Dans ce séjour calme et tranquille S'écoulent nos jours innocents; Et nous bravons dans cet asile Les entreprises des méchants. LA COMTESSE, assise et brodant une écharpe. Je tremble encore quand j'y pense; Quel homme que ce comte Ory! De la vertu, de l'innocence C'est le plus cruel ennemi. C'est le nôtre... Dieu! quelle audace! D'un saint homme prendre la place! Et me promettre mon mari!
Encore un trait du comte Ory. De malheureuses pèlerines Qui, fuyant sa poursuite, et cherchant un abri, Pour la nuit demandent un asile. Que nos secours leur soient offerts! J'ai prévenu vos voeux! ce soin m'était facile. On aime
J'avais bien un moyen fort beau; Mais je le crois trop téméraire. Parlez ... parlez ... beau jouvenceau. Je voulais, d'une pèlerine Prenant la cape et le manteau, M'introduire dans ce château. Bien! bien ... le moyen est nouveau. A part. On peut s'en servir, j'imagine. Au page. Noble page du comte Ory, Serez un jour digne de lui! LE COMTE,
Monseigneur notre prince, auquel je suis soumis, M'ordonne de chercher le comte Ory, son fils, Ce démon incarné, mon élève et mon maître, Qui, sans mon ordre, de la cour S'est avisé de disparaître. ISOLIER,
Quoi! demain?... ô dépit extrême! Leurs maris vont revenir! RAIMBAUD, bas. Oui, Monseigneur, il faut partir; A votre père il faut obéir. Il n'est pas temps... un dernier stratagème Peut encor nous servir. DAME RAGONDE ET LES FEMMES, au comte Ory. Adieu vous dis, ô noble comte, Soyez plus heureux désormais. LE COMTE,
Le Comte Ory, qui fut représenté en 1828, contient, ainsi que nous venons de le dire, des fragments de l'opéra italien il Viaggio a Reims; on y trouve en outre quelques morceaux empruntés
LE COMTE ORY, la regardant. Parlez, dame... trop respectable. Tandis que nos maris, dont l'absence m'accable, Dans les champs musulmans moissonnent des lauriers, Leurs fidèles moitiés, quoiqu'
Le seigneur de Basché était un viveur, une espèce de comte Ory, qui conservait les traditions de Villon, et faisait refleurir les compagnons de la franche lipée. Grand dépensier, il mangeait comme Panurge son blé en herbe, et ne payant jamais ses dettes, il avait souvent maille
ISOLIER, seul, regardant du côté du château. Je vais revoir la beauté qui m'est chère.... Mais comment désarmer cette vertu si fière? Comment, en ma faveur, la toucher aujourd'hui? Si cet ermite, ce bon père, Voulait m'aider ... Oh! non ... ce serait trop hardi.... Allons, ne suis-je pas page du comte Ory! ISOLIER, LE COMTE ORY, en ermite. Salut, ô vénérable ermite!
Calmez le trouble de votre âme. LE COMTE, pressant sa main sur ses lèvres. Ah! Madame! LA COMTESSE, souriant. Quel excès de frayeur! Il fait battre mon coeur. Ah! vous pouvez sans crainte Braver le comte Ory. Ici, dans cette enceinte, On peut rire de lui. LE COMTE,
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