Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 8 juillet 2025
On peut dire de M. Marcel Schwob, comme d'Ulysse, qu'il est subtil et qu'il connaît les moeurs diverses des hommes. Il y a dans ses contes des tableaux de tous les temps, depuis l'époque de la pierre polie jusqu'
Aux lettrés, s'offrent aussi de délicates éditions de bibliophiles. Il y a la merveilleuse collection Louis Conard si souvent louée ici des Oeuvres complètes de Balzac, illustrées par Huard. Et il y a aussi la merveilleuse «bibliothèque du XVe siècle», de l'éditeur Champion, ce Mécène des lettres françaises du temps passé. La série vient de s'enrichir d'un très important ouvrage sur Villon en deux volumes par M. Pierre Champion, l'un de nos plus sympathiques chartistes. On connaît sur Villon l'excellent petit livre de Gaston Paris. On sait aussi les précieuses découvertes d'Auguste Longnon et les patientes et précises recherches de Marcel Schwob, mort
La Ville de Paris et le Concert Colonne ont donné deux très belles auditions de la Croisade des Enfants, légende musicale adaptée du poème de Marcel Schwob; nous avons publié, avec notre dernier numéro, un fragment de cette oeuvre: il nous sera permis, quoique M. Gabriel Pierné soit notre collaborateur, d'en dire tout le mérite.
Entre les différents écrits de M. Schwob, conte, histoire, analyse psychologique, je ne fais d'abord aucune distinction, afin de me conformer
Le sujet de la Croisade des enfants est emprunté au remarquable poème de Marcel Schwob; il tient tout entier dans ces quelques lignes extraites des chroniques d'Albert de Stade, de Jacques de Voragine et d'Albéric des Trois Fontaines (année 1212): «Vers ce temps l
Schwob nous arrive aujourd'hui, avec dans sa poche, l'Américain Wittemann, qu'il est en train de traduire. Il nous traduit, au courant de la lecture: La Maison des morts de la Cité, un morceau étrangement poétique sur un cadavre de prostituée, un morceau d'un lyrisme fantastique, dont semble descendre Maeterlink.
Le hasard fait, que les exécutions, racontées hier, par Céard, reviennent dans la conversation, et Schwob décrit l'exécution d'Eyraud, qu'il a vue. Lui, il dit que dans une exécution, la seule chose dramatique, est l'apparition du condamné sur la porte, et que la rapidité de la décapitation dans tous ses détails il a compté ne dépasse pas 50 secondes.
Il est très occupé d'Aristote qui voulait que le poète tragique corrigeât la terreur par la pitié, et il se flatte d'avoir observé dans son Coeur double ce précepte du Stagirite. Il peut avoir raison, mais c'est une raison qui ne me frappe pas, et je ne sais pas démêler le lien mystérieux qui, dans sa pensée, unit ses contes et en fait un tout indivisible. Je ne connais pas M. Marcel Schwob. On me dit qu'il est très jeune, et,
Marcel Schwob. Mon véritable nom est si bien connu dans les archives ou registres des prisons de Newgate et de Old Bailey et certaines choses de telle importance en dépendent encore, qui sont relatives
Le monde est une forêt de différences; connaître le monde, c'est savoir qu'il n'y a pas d'identités formelles, principe évident et qui se réalise parfaitement dans l'homme puisque la conscience d'être n'est que la conscience d'être différent. Il n'y a donc pas de science de l'homme; mais il y a un art de l'homme. M. Schwob a dit l
Mot du Jour
D'autres à la Recherche