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Mis à jour: 3 juin 2025


À propos de la scène de Mme Bourjot avec le jeune Mauperin, que Céard a cherché

Le hasard fait, que les exécutions, racontées hier, par Céard, reviennent dans la conversation, et Schwob décrit l'exécution d'Eyraud, qu'il a vue. Lui, il dit que dans une exécution, la seule chose dramatique, est l'apparition du condamné sur la porte, et que la rapidité de la décapitation dans tous ses détails il a compté ne dépasse pas 50 secondes.

Jeudi 20 juillet. Avant dîner, Céard donne quelques détails curieux sur les exécutions, auxquelles il a assisté. Il parle de la tête oscillante du condamné sur les épaules, comme si elle ne tenait plus, de la longueur du visage par la descente de la mâchoire, de la pâleur qui tourne au chocolat, et nous fait voir le couteau, remontant éclaboussé de sang, comme du papier peigne, avec la trace parfaitement indiquée des deux carotides. Ce sont des observations faites par lui,

Jeudi 9 février. Je rencontre aujourd'hui Céard, qui me raconte l'histoire vraie de l'idiot amoureux de la sœur de POT-BOUILLE. Elle est vraiment curieuse, et la voici: Un faible d'esprit, épris de sa sœur, non absolument sensuellement, mais plutôt plastiquement, et un peu

Loin de la parole sonore de Hérédia, loin du bruit des appels de pied de Céard et de Drumont, qui font des armes dans le billard, Barbey d'Aurevilly, toujours dans un costume étrange, et avec la dure teinture de la barbe et des cheveux, lui donnant l'aspect d'une figure de cire de chez Curtius, Barbey nous conte sa jeunesse.

Claude Bernard, dans le délire qui précéda son agonie, ne répétait qu'un seul mot: «Foutu! foutuMercredi 20 mars. Céard me donnait un joli détail sur les amours d'hôpital. Ces amours débutent d'ordinaire par une paire de jarretières, que la malade demande

Jeudi 14 octobre. Aujourd'hui, envoi par Didot de la seconde épreuve de la dernière feuille de la FEMME AU DIX-HUITIÈME SIÈCLE, et réception d'une lettre de Céard, m'annonçant pour demain la lecture de REN

Ah! si des amis m'avaient tenu un tel langage!... Si Maupassant, Huysmans, Céard, m'avaient parlé de la sorte, j'avoue que j'eusse été quelque peu estomaqué. Mais la déclaration de ces messieurs ne saurait me produire un tel effet! Je n'y répondrai du reste absolument rien, et cette détermination se trouve fortifiée par les conseils qui m'ont été donnés de toutes parts.

À la fin du déjeuner chez le maire, Zola m'avait tâté pour une réconciliation avec Céard, et je lui avais répondu, songeant combien cette brouille gênait les Daudet père et fils, et même combien c'était embêtant pour nous deux, de nous faire, dans des milieux amis, des têtes de chiens de faïence; je lui avais répondu que j'étais tout prêt

Il rencontre, il y a un mois, Céard, et lui dit: «Je suis en train de lire le JOURNAL DES GONCOURT, dont il m'a envoyé un exemplaire sur papier du Japon... sur ce beau papier lisse... c'est une jouissance pour moi, comme si je le lisais sur des cuisses de femmesDîner avec Zola chez les Charpentier.

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