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Mis à jour: 4 mai 2025
Hier dans le Temps, M. Sarcey, après m'avoir reproché d'avoir taillé en tranches de croquades, l'histoire de Germinie Lacerteux, sans en avoir montré les points lumineux, conclut ainsi: «Monsieur de Goncourt n'entend rien, rien absolument au théâtre .»
C'est égal, si quelque auteur contemporain mettait au théâtre un personnage aussi incohérent, aussi visiblement double que le Tartuffe de Molière, que diriez-vous, ô mon maître Sarcey? 13 Juillet 1896. «Bien taillé! comme disait l'autre. Et maintenant il faut recoudre.» Recousons. C'est de Tartuffe qu'il s'agit.
Et je profite de l'occasion pour enregistrer l'aveu de M. Sarcey. Chaque époque a son métier. Qu'il reconnaisse maintenant que chaque auteur a le sien et nous nous entendrons parfaitement. Seulement, il ne faudra plus alors qu'il veuille régenter le théâtre, parler de pièces bien faites et de pièces mal faites. Du moment où il n'y a pas une grammaire, un code, tout est permis. C'est ce que je me tue
À ses débuts, Sarcey ne voyait en Racine qu'un orateur harmonieux, assez peu «homme de théâtre». À la fin, il le trouve aussi malin que d'Ennery.
Voici la chose dépouillée de tout vain artifice: je suis éperdument amoureux d'une jeune fille qui passe tous les soirs vers six heures et demie place du Châtelet. Une incoercible timidité m'en prohibe l'abord, et cependant je me suis juré de lui causer ce soir, comme dit M. Francisque Sarcey dans son ignorance de la langue française.
Samedi 11 février. Sarcey, dans une conférence sur LA FAUSTIN,
Je n'essayerai même pas de passer en revue les pages innombrables sorties de la plume aisée et robuste de M. Sarcey. Son œuvre, c'est cinq ou six heures de conversation écrite, tous les jours, depuis trente ans. J'ai dit un mot du journaliste: je ne dirai rien du romancier, encore qu'il y ait bien de l'émotion et de la vérité dans
Les rieurs furent du reste du côté de Sarcey. Si j'évoque ce duel de plume entre le romancier-dramaturge et le critique célèbre, c'est que le coup de massue asséné par Zola, dans le Figaro, sur la «caboche» de Sarcey, demeure, le livre en gardant la trace, tandis que, pour retrouver la riposte du journaliste, il faut aller fouiller la collection du Temps et relire le feuilleton du 7 mars 1887. N'est-il pas juste qu'
C'est évidemment M. Sarcey qui a raison, sauf les cas où il abonde un peu trop dans son sens. Il est comme ces critiques d'art qui, connaissant
Or donc, le style, les caractères n'entrant point en ligne de compte dans votre critique, accordez-vous quelque valeur aux situations? Pas plus! Ce tableau frais et pur du dîner des fillettes, servi par cette servante enceinte, et se terminant par l'emprunt des quarante francs de ses couches, ce tableau en dépit de l'empoignement du public de la première un des plus dramatiques du théâtre de ce temps, vous ne le trouvez qu'odieux, mal fait, et sans invention aucune. Et toute votre esthétique théâtrale, monsieur Sarcey, consiste dans la scène
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