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Comme nos sentimens pour le marquis de Vauvenargues se rencontroient parfaitement d'accord, ce fut pour tous les deux une espèce de sympathie. Nous nous donnions tous les soirs rendez-vous après la comédie au café de Procope, le tribunal de la critique et l'école des jeunes poètes, pour étudier l'humeur et le goût du public. L

Eh bien! rassurez-vous... Dorénavant, tous les soirs,

Il faudra qu'un de ces soirs je vous conte le douloureux drame si calme, si correct de ma vie, et que je vous présente un peu ce premier secrétaire d'ambassade qui est mon mari, et de qui me vinrent tous mes désenchantements,

Presque tous les soirs, les titis de l'endroit pourront vous l'affirmer, il lui arrivait de s'arrêter net au beau milieu d'une tirade et de rester debout, sans parler, la bouche ouverte,

Ce qui l'empêchait alors de s'orienter, c'était un brouillard qui s'élevait avec la nuit, un de ces brouillards des soirs d'automne, que la blancheur du clair de lune rend plus vagues et plus trompeurs encore. Les grandes flaques d'eau dont les clairières sont semées exhalaient des vapeurs si épaisses que, lorsque la Grise les traversait, on ne s'en apercevait qu'au clapotement de ses pieds et

Ces arbres vont ainsi des moines mortuaires Qui s'en iraient, le cœur assombri par les soirs, Comme jadis partaient les longs pénitents noirs Pèleriner, l

Et de même c'était en se rappelant les illuminations et les fleurs des grands appartements de l'hôtel aujourd'hui toujours fermés; c'était en retrouvant dans sa mémoire l'aspect superbe de la cour d'honneur du château les jours des grandes chasses, ou celui de la salle de spectacle les soirs l'on jouait la comédie, qu'elle avait compris que tout cela ressusciterait quand elle se marierait.

Le premier consul ne quittait pas son cabinet; madame Bonaparte était obligée, pour tuer le temps, d'aller tous les soirs au théâtre avec sa fille, qui ne la quittait pas.

Avant l'établissement du Comité, et tant qu'il fut seul maître dans l'école, il ne nous donnait même pas une nourriture suffisante. Une fois chaque semaine il nous ennuyait par ses longues lectures, et tous les soirs il exigeait que nous lussions des livres qu'il avait faits sur la mort subite et le jugement. Ces livres nous effrayaient tellement que nous n'osions plus aller nous coucher.

Jeune, avant d'être saisi par cette implacable histoire, j'avais senti la nature, mais d'une chaleur aveugle, d'un coeur moins tendre qu'ardent. Plus récemment, établi dans la banlieue de Paris, ce sentiment m'avait repris. J'avais vu, non sans intérêt, mes fleurs maladives dans ce sol aride, si sensibles tous les soirs au bonheur de l'arrosement, visiblement reconnaissantes. Combien davantage