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Mis à jour: 4 mai 2025
C'est le moins qu'ait pu faire pour elle son héritier improvisé. A Francisque Sarcey. Un collier, diamants et saphirs, quatorze mille francs; deux paires de pendants d'oreilles, sept mille cinq cents; nous disons... Oui, monsieur le commissaire. Ce qui, ajouté
Il me semble aussi qu'il aurait pu distinguer plus qu'il n'a fait entre les conventions qu'impose la forme même du drame et celles qu'imposent les préjugés, les habitudes, l'éducation du public. Autant de conventions qu'on voudra dans l'action; le moins de conventions possible dans les personnages. Mais on dirait que pour M. Sarcey il n'y en a jamais trop! Les genres qu'il préfère sont ceux qui en entassent le plus, par exemple le mélodrame, qu'il adore. Les tentatives originales l'ont presque toujours trouvé hostile ou défiant: Je vois avec chagrin Meilhac et Halévy se préoccuper de moins en moins,
Ce n'est plus cela du tout, car cette verve robuste vaut surtout par l'insistance, par le copieux, par l'ample jaillissement sans effort ni saccade. Toute la prose de M. Sarcey est visiblement écrite au courant de la plume. Et peut-être, plus travaillée, vaudrait-elle moins.
Vendredi 23 janvier. Ici, je retrouve Sarcey tout entier: après avoir fait un assez bénin compte rendu de la FILLE
Vraiment, Scribe est en défaveur? Eh bien! et M. Hennequin, et M. Sardou lui-même? Lorsque j'ai nommé Scribe, j'ai voulu évidemment désigner la pièce d'intrigue, le tour de passe-passe, l'escamotage remplaçant l'observation. Que Scribe lui-même soit jeté au grenier, cela va de soi, cela me donne raison; mais il n'en reste pas moins vrai que les héritiers de Scribe sont encore en plein succès. Quand on joue une pièce «bien faite», comme il dit, est-ce que M. Sarcey ne se pâme pas de joie? Est-ce que ses feuilletons, son enseignement dramatique, ne concluent pas toujours
Les battements de mains n'avaient pas cessé, lorsque M. Francisque Sarcey a repris pour son compte le voeu que venaient d'exprimer M. Delaunay par son discours et tous les assistants par leurs battements de mains.
Comment M. Sarcey suffirait-il autrement
Racine est, en effet, de ceux que l'on «découvre» toujours davantage. C'est pour cela que beaucoup ont commencé par ne le goûter que modérément, et ont fini par le chérir. Tel Sainte-Beuve, qui le traite fort strictement dans ses premiers articles, mais généreusement et magnifiquement dans son Port-Royal. Tel encore notre Francisque Sarcey.
Maintenant, M. Delpit me permettra-t-il de lui donner quelques conseils, comme mon métier de critique m'y oblige? Je vois partout qu'on l'acclame et qu'on le grise, en le poussant dans une voie qui me paraît fâcheuse. Ainsi, je nommerai M. Sarcey, dont l'autorité est réelle en matière dramatique, et qui, selon moi, fait beaucoup de victimes par les enseignements de son feuilleton.
Non, il n'est pas vrai que tout disparaisse dans l'émotion purement nerveuse du public. A ce compte, les mélodrames les plus gros et les plus bêtes seraient des chefs-d'oeuvre inattaquables, car ils ont bouleversé de gaieté et de douleur des générations entières. Non, le théâtre n'est pas une belle chose, parce qu'on peut y duper chaque soir quinze cents personnes, en leur faisant avaler des choses très médiocres dans un éclat de rire ou dans un flot de larmes. C'est au contraire pour cette raison que le théâtre est inférieur. Il n'est pas honorable d'ébranler la raison des spectateurs par des situations violentes, au point de les rendre imbéciles, et cela n'est permis qu'aux pièces sans littérature. Où M. Sarcey a-t-il vu que la situation faisait tout oublier? dans le répertoire des boulevards, dans nos pièces romantiques qui mêlent l'habileté de Scribe
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