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Mis à jour: 4 juin 2025


Comme le dit fort bien M. Francisque Sarcey, chaque fois qu'il lui arrive un événement tant soit peu étrange: On mettrait ça dans les journaux, que personne ne le croirait.

La dernière édition du Roman de la Rose fut donnée par M. Francisque Michel. Cette édition n'en est pas une. Outre qu'elle n'est que la reproduction servile de celle de Méon (en plus quelques fautes), il est regrettable que M. Francisque Michel se soit contenté de publier en tête de l'ouvrage l'Avertissement de Méon et la Préface de Lenglet du Fresnoy. [p. CXXIII] Pourquoi cet écrivain qui, plus que tout autre, était

M. Francisque Sarcey, qui est l'autorité la plus compétente en la matière, a bien voulu répondre aux pages qu'on vient de lire. Il n'est point de mon avis, naturellement. M. Sarcey se contente de juger les oeuvres au jour le jour, sans s'inquiéter de l'ensemble de la production contemporaine, constatant simplement le succès ou l'insuccès, en donnant les raisons tirées de ce qu'il croit être la science absolue du théâtre. Je suis, au contraire, un philosophe esthéticien que passionne le spectacle des évolutions littéraires, qui se soucie peu au fond de la pièce jouée, presque toujours médiocre, et qui la regarde comme une indication plus ou moins nette d'une époque et d'un tempérament; en outre, je ne crois pas du tout

M. Francisque Michel poursuit la publication de la Chronique en vers des ducs de Normandie, par Benoît de Sainte-Maure, dont il a recueilli le texte dans son dernier voyage en Angleterre.

Nous regrettons que M. Francisque Michel n'ait eu le courage de l'entreprendre, car il nous a privés ainsi d'une étude fort intéressante. Nous en avons pour garants le talent incontestable de ce savant et ses travaux antérieurs. Nous ajouterons cependant que nous regardons comme un devoir, lorsqu'on veut faire revivre une oeuvre de cet importance, de donner au moins son opinion, ne fût-ce que pour prouver au lecteur que le travail est consciencieusement fait. Au surplus, nous ne croyons pas que M. Francisque Michel ait eu l'intention de faire une édition nouvelle; car il s'est contenté, comme nous, de reproduire servilement celle de Méon, quoiqu'il annonce dans sa Préface avoir «revu le texte avec le plus grand soin, et surtout l'avoir établi d'une manière plus conforme aux règles de notre ancienne langueLa seule différence que nous ayons constatée entre ces deux éditions, c'est,

M. Jules Lemaître s'occupe même de théâtre dans ses feuilletons dramatiques et M. Francisque Sarcey lui en a fait tous ses compliments. Mais M. Jules Lemaître s'occupe de bien autre chose dans ces études si diverses et toujours nouvelles, ou plutôt il ne s'y occupe que d'une seule chose, qui est l'âme humaine.

«Vous rappelez-vous le costume d'archer de Paul? vous rappelez-vous les souliers jaunes de Francisque Michel? vous rappelez-vous mon fils en débardeur? vous rappelez-vous cet enfoncement était le piano et vous chantiez Lazzara, cette merveilleuse mélodie, que vous m'avez promise et que, soit dit sans reproches, vous ne m'avez jamais donnée?

«Enfin Francisque vintIl vint du fond de sa province, attiré par About, comme un Caliban de collège par un Prospero du boulevard (et l'on sait la fidélité touchante de son amitié pour son étincelant compagnon). Il vint armé de bon sens, de patience, de franchise et de bonne humeur; professeur dans l'âme, consciencieux, appliqué, décidé

Il n'est que juste d'ajouter qu'ils se conduisirent au feu comme de braves gens qu'ils étaient. Aussi bien leur capitaine était-il un vaillant petit homme, point maladroit ni manchot, car il avait dans sa prime jeunesse, pour son plaisir, couru les taureaux en Camargue. On dit même, mais je n'en crois rien, que notre excellent confrère M. Francisque Sarcey n'a jamais parlé de Paul Arène que comme torero. Quoi qu'il en soit, après la guerre, Paul Arène déposa le képi et le ceinturon. Vers 1875, se trouvant

Rochefort, dans une de ses Lanternes, y veut reconnaître Delesvaux, ce président de la 6e chambre, qui, après s'être concilié les faveurs de la cour par une série d'arrêts iniques, s'est enfin rendu bonne justice en se crevant d'excès. M. Francisque Sarcey fit un bon article indigné et gaulois dont je le remercie encore. Et la poursuite fut abandonnée.

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