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Mis à jour: 4 mai 2025
Ça me ficherait en colère, comme dit Sarcey, et, malade comme je suis, la moindre émotion peut me tuer. Je préfère découper, dans une lettre que je viens de recevoir, le passage suivant. Lisez-le attentivement, Mesdames et Messieurs, et vous vous rendrez bien compte que Paris ne détient pas le record des suprêmes rigolades: *
Le miel aux lèvres, je serrai la main du valet et m'informai de la santé de tout le monde. Et où allez-vous comme ça? continuai-je. Je vais au Petit Journal, porter l'article de Monsieur. Tiens! Comme ça se trouve! Moi aussi, je vais au Petit Journal. Remettez-moi la chronique de M. Sarcey. Cela vous évitera une course. L'homme obtempéra.
L'impression que nous a laissée M. Sarcey sa personne, sa critique et son style est une impression de rotondité. Or rien de plus facile
Le malicieux et pionnesque Sarcey reproche encore
Vous oubliez, me dira-t-on, ses histoires de curés, de moines, de religieuses. Hé! oui M. Sarcey en mange volontiers, toujours comme ses pères du dernier siècle. Il en mange trop, ou du moins il en a trop mangé, car depuis quelque temps il se repose. Il n'a pas l'air de se douter (et il le sait pourtant bien) que la plupart du temps le curé est un brave homme qui a seulement les préjugés de son habit et de sa profession et qui même doit les avoir et serait un prêtre douteux s'il ne les avait pas; que presque toujours, dans ces querelles entre curés et maires ou maîtres d'école, les torts sont partagés, et qu'enfin il n'est jamais renseigné que par l'une des parties et souvent par des nigauds, des fanatiques ou des farceurs. Cela lui est donc agréable ou indifférent de songer qu'il fait la joie du pharmacien Homais et qu'il lui fournit des armes? Oh! je sais bien tout ce que M. Sarcey peut répondre, et que tous les «oints», comme il dit, ne sont pas d'une aussi bonne pâte que le curé Bournisien. Et puis, quand, grâce
Mardi 23 novembre. Sarcey,
Mais MM. Sarcey et Faguet ont admiré votre quatrième acte. Eh bien, tant mieux: que vous faut-il de plus? Ce sont des hommes doux, bien meilleurs que moi, et qui ont coutume de découvrir, chaque saison, dans les pièces qui leur sont soumises, une bonne douzaine de «scènes supérieures» et de «scènes de premier ordre.» J'estime tout naturel que vous ayez plus de confiance en eux qu'en moi et que vous mettiez leur jugement fort au-dessus du mien; mais enfin c'est le mien, et non le leur, que vous me demandiez, quand, avec l'espoir effréné que je vous trouverais du génie, vous m'avez convié
Jeudi 2 juillet. Dans la vie littéraire, il y a une chose délicate, c'est le contact avec les critiques éreinteurs: leur faire grise mine, ce n'est pas distingué, être aimable avec eux, ça a quelque chose de plat. Aussi je veux donner de mon journal, dans les volumes qui paraîtront encore, donner sur Sarcey et les autres, des extraits tels, que nous puissions nous donner entre gens similairement éreintés, des poignées de main, d'égaux
M. Sarcey, qui voit gros et qui n'y va jamais par quatre chemins, se tire d'affaire en traitant M. Renan de «fumiste», de fumiste supérieur et transcendant (XIXe Siècle, article du mois d'octobre 1884). Eh! oui, M. Renan se moque de nous. Mais se moque-t-il toujours? et jusqu'
En vérité, une créature aussi bouffie d'orgueil et d'ambition ne mériterait que des «gifles», comme disait Sarcey. Si la femme du XXe siècle doit ressembler
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