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QUATRIÈME CITOYEN. Nous voulons entendre le testament: lisez-le, Marc-Antoine. LES CITOYENS. Le testament! le testament! nous voulons entendre le testament de César.

N'est-ce pas la fine notation de cette heure-ci? Vous n'avez peut-être jamais lu Paul Desjardins. Lisez-le, mon enfant; aujourd'hui il se mue, me dit-on, en frère prêcheur, mais ce fut longtemps un aquarelliste limpide... Les bois sont déj

Ça me ficherait en colère, comme dit Sarcey, et, malade comme je suis, la moindre émotion peut me tuer. Je préfère découper, dans une lettre que je viens de recevoir, le passage suivant. Lisez-le attentivement, Mesdames et Messieurs, et vous vous rendrez bien compte que Paris ne détient pas le record des suprêmes rigolades: *

C'est dans ce livre, je ne dirai pas, dont nous rendons compte, on ne rend pas compte d'un pareil livre, on le lit et l'on dit aux autres: « Lisez-le! » c'est l

Rodin parut faire un effort sur lui-même pour réprimer un mouvement de violent courroux; puis il dit au père d'Aigrigny d'une voix calme: Lisez-le donc alors... À peine le révérend père eut-il jeté les yeux sur ce billet qu'un vif rayon d'espoir illumina sa physionomie jusqu'alors désespérée; serrant alors la main du socius avec une expression de profonde reconnaissance, il lui dit

"C'était joli! et nous avons aussi deux discours sur la peine de mort, l'un contre, l'autre pour; et puis un éloge de Gresset, il y avait cette belle phrase, que je me rappelle encore tout entière: "Oh! lisez le Vert-Vert, vous qui aspirez au mérite de badiner et d'écrire avec grâce; lisez-le, vous qui ne cherchez que l'amusement, et vous connaîtrez de nouvelles sources de plaisirs. Oui, tant que la langue française subsistera, le Vert-Vert trouvera des admirateurs. Grâce au pouvoir du génie, les aventures d'un perroquet occuperont encore nos derniers neveux. Une foule de héros est restée plongée dans un éternel oubli, parce qu'elle n'a point trouvé une plume digne de célébrer ses exploits; mais toi, heureux Vert-Vert, ta gloire passera

De qui? demanda le roi. Je n'en sais rien, dit Mlle de Hautefort. Lisez-le, vous le saurez. Plus tard, Sire! Pourquoi plus tard? Parce que je ne suis pas pressée. Mais moi je le suis. En tout cas, dit Mlle de Hautefort, il me semble, Sire, que je suis bien libre de recevoir des billets de qui je veux. Non. Comment, non? Attendu... Attendu quoi? Attendu...... attendu...... que je vous aime!

En apprenant qu'il était orphelin et venait de l'Alsace-Lorraine, la dame se sentit tout émue. Elle ouvrit son armoire, et lui présentant un livre qui était sur une planche: Tenez, mon enfant, lui dit-elle, je vous donne ce livre: il parle de la France que vous aimez et des grands hommes qu'elle a produits. Lisez-le: il est

Gluck le chante ainsi: Divinités du Styx, divinités du Styx, ministres de la mort, Je n'invoquerai point votre pitié cruelle; Je n'invoquerai point, je n'invoquerai point Votre pitié cruelle, votre pitié cruelle. Lisez-le, c'est grotesque; chantez-le, cela donne le frisson.

Je viens de feuilleter, ma chère cousine, le second volume de la correspondance de Gustave Flaubert. C'est excessivement amusant. Lisez-le. Je sais que vous aimez Flaubert et que certaines pages de cet impassible vous ont émue: la mort d'Emma Bovary; ses promenades