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Mis à jour: 26 mai 2025
Bien loin d'avoir en elle un certain nombre fini et déterminé de fractions réelles, l'unité n'en a aucune, tant qu'elle n'est pas divisée, soit physiquement, soit mentalement. Quant aux fractions purement possibles, elles sont sans nombre, car l'indéfini n'est pas un nombre. Et c'est pour cela qu'Aristote a soutenu que les fractions sont en puissance et non pas en acte dans l'unité: μάλισ
Il est vrai qu'Aristote, s'élevant contre la confusion des femmes et des enfants, se refusait
«Sénèque m'a plus servi qu'Aristote; Plutarque que Platon; Juvénal et Horace qu'Homère et Virgile; Montaigne et Charron que tous les précédents... Le pédantisme a bien pu gagner quelque chose, pendant sept ou huit ans que j'ai demeuré dans les colléges, sur mon corps et façons de faire extérieures, mais je me puis vanter assurément qu'il n'a rien empiété sur mon esprit. La nature, Dieu merci, ne lui
O la grande fatigue que d'avoir une femme! et qu'Aristote a bien raison quand il dit qu'une femme est pire qu'un démon! Voyez un peu l'habile homme, avec son benêt d'Aristote! Oui, habile homme. Trouve-moi un faiseur de fagots qui sache, comme moi, raisonner des choses, qui ait servi six ans un fameux médecin, et qui ait su dans son jeune âge son rudiment par coeur. Peste du fou fieffé!
Si deux espèces prochaines épuisent la division de tout genre, la règle est applicable au genre relation. La relation est un genre supérieur, de ceux qu'Aristote appelle generalissima, car c'est le troisième prédicament. Or, quelles sont les deux différences prochaines qui divisent le genre relation? La difficulté de le dire peut prouver seulement que les noms des deux espèces prochaines du genre relation manquent, et ne prouve pas qu'elles n'existent point dans les choses, faute d'exister dans les noms; elles peuvent être dans la nature et manquer dans le langage. Mais c'est une règle de logique que tous les relatifs sont ensemble dans la nature, tous les ad aliquid sont simul, [Grec: pros ti hama tae physei einai], ce qui signifie qu'ils coexistent naturellement, en ce sens que si une chose est relative
On tient pour certain qu'Aristote se precipita dans l'Euripe, desirant que l'Euripe le comprit, puis qu'il ne pouvoit comprendre les principes & les raisons des mouvemens d'iceluy. Qui est-ce aussi qui depuis ce grand Philosophe a pû nous donner une raison certaine du mouvement admirable de cet espouventable Occean? mouvement qui ne se faict pas du pole Arctique, jusques au pole Antarctique, comme quelqu'uns se sont persuadez. Que si cet element ne faisoit que rouler du Nort au Sud, & retourner du Sud au Nort, il n'y auroit de quoy tant admirer. Mais la merveille est que la mer prenant son cours vers le pole Antarctique, qui est celuy l
Avant tout, dans les beaux-arts, pour être susceptible de plaisir il faut sentir fortement. Je ferai remarquer en passant que les gens renommés pour leur sagesse, dans une nation comme dans une société particulière, ne sont jamais choisis parmi les êtres qui ont reçu du ciel le don de sentir avec force. Un très petit nombre de ces êtres favorisés, tel qu'Aristote chez les anciens, aura reçu l'étonnante faculté d'analyser aujourd'hui avec une exactitude parfaite, la sensation puissante qui, hier, leur donnait les transports du plaisir le plus vif. Quant au vulgaire des philosophes, doués d'une logique admirable, et qui sur tous les autres objets du savoir ou des recherches de l'homme, leur fait éviter l'erreur, s'ils viennent
Si nous divisons le monde de l'esprit en ses trois parties les plus visiblement distinctes, nous avons l'Intellect pur, le Goût et le Sens moral. Je mets le Goût au milieu, parce que c'est précisément la place qu'il occupe dans l'esprit. Il se relie intimement aux deux extrêmes, et n'est séparé du Sens moral que par une si faible différence qu'Aristote n'a pas hésité
«Nous avons,» dit-il en terminant, «dans tout ce que nous venons d'enseigner sur la relation, suivi principalement Aristote, parce que la langue latine s'est particulièrement armée de ses ouvrages et que nos devanciers ont traduit ses écrits du grec en cette langue. Et nous peut-être, si nous avions connu les écrits de son maître Platon sur notre art, nous les adopterions aussi, et peut-être la critique du disciple touchant la définition du maître paraîtrait-elle moins juste. Nous savons en effet qu'Aristote lui-même dans beaucoup d'autres endroits, excité peut-être par l'envie, par le désir de la renommée, ou pour faire montre de science, s'est insurgé contre son maître, ce premier chef de toute la philosophie, et que, s'acharnant contre ses opinions, il les a combattues par certaines argumentations et même par des argumentations sophistiques; comme dans ce que nous rapporte Macrobe au sujet du mouvement de l'âme . De même, ici peut-être s'est-il glissé quelque malveillance, soit qu'Aristote n'ait pas été juste dans sa manière de prendre la doctrine de Platon sur la relation, soit qu'il expose mal le sens de la définition et y ajoute de son fonds des exemples mal choisis, afin de trouver quelque chose
HECTOR. Pâris, et vous, Troïlus, vous avez tous deux bien parlé; et vous avez raisonné sur l'affaire et la question maintenant en discussion; mais bien superficiellement, et comme des jeunes gens qu'Aristote jugerait incapables d'entendre la philosophie morale. Les raisons que vous alléguez conviennent mieux
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