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Après avoir commandé quelques herbages et quelques fruits pour mon repas, je montai dans les appartements, et j'ouvris les volets, fermés depuis trois ans. Mais il n'y entra que plus de tristesse avec plus de jour, car la lumière, en les remplissant, ne faisait que m'en montrer davantage le vide. Il n'y eut que quelques oiseaux familiers, ces beaux paons nourris par nos mains, qui parurent se réjouir en voyant se rouvrir les fenêtres: ils regardèrent, ils volèrent lourdement un

«Un chagrin. Mon cher petit chien, mon joli Bijou est malade, si malade que je crains qu'il n'en meure. Pauvre bête! comme il est oppressé, comme il gémit, me lèche les mains et me dit: «Soulagez-moiJe ne sais que lui faire, il ne prend rien que quelques gouttes de sirop de gomme qu'il lèche sur mes doigts; c'est ainsi que je le nourris, moitié sucre, moitié caresses. Hélas! que sert d'aimer? je ne le sauverai pas. Cela me ferait pleurer, si je ne renvoyais mes larmes. Pleurer une bête, c'est bête, mais le coeur n'a pas d'esprit ni trop d'amour-propre souvent. Puis mon Bijou est si joli, si gracieux, si gentil, si précieux, me venant de Lili! Un chien, c'est si riant, si caressant, si tendre, si

Votre Majesté n'a point ratifié l'acte de cession du Hanovre et cependant, tandis que je suis privé des diverses branches des revenus publics de cette province, je me vois chargé des frais de son administration et de l'entretien de 6,000 cavaliers français qui, au terme des traités, doivent être soldés et nourris par elle. Il est impossible que Votre Majesté ait voulu m'imposer les charges sans me donner les moyens d'y subvenir. Ce poids entier retombe maintenant sur mes anciennes provinces et elles sont hors d'état de le porter. Je prie Votre Majesté de prendre en sérieuse considération la situation de la Westphalie et de me faire connaître positivement ses intentions. Si elle daigne se faire remettre sous les yeux ma lettre du 31 octobre dernier, elle y verra relativement au Hanovre l'exposé sincère de mes sentiments; s'il convient aux desseins politiques de Votre Majesté de m'ôter ce qu'elle m'a donné, je suis prêt

Es-tu bien sûr de cela? Si sûr, que je vous le répète encore: Entre vous et moi, il n'y a plus rien de commun. Je crois que tu te trompes, maître!... Moi! pourquoi? Parce que voici un an que je loge et nourris gratis

«Quand la traite était permise, les prisonniers étaient bien nourris. On les soignait, on leur évitait de trop grandes fatigues pour en tirer un plus haut prix..... Aujourd'hui, au contraire, les esclaves sont traités avec une barbarie qui dépasse tout ce que l'imagination peut concevoir: il est inutile de les avoir gras et bien portants; car les Africains sont trop pauvres pour les payer et, quand ils les achètent, ils les trouvent toujours assez bons. Telle est du moins la règle ordinaire; l'exception a lieu lorsque le hasard donne

»Vous éveiller, grands et petits; s'il est encore, hélas! de la pitié dans le monde, au nom de Dieu, secourez-nous! »Frères, parents, amis, au nom de Dieu, écoutez-nous! Priez, priez! car les enfants, eux, ne prient pas. »Ceux que nous avons nourris nous ont depuis longtemps oubliés; ceux que nous avons aimés nous ont sans pitié délaissés.

Les coups de fusil continuèrent aussi nourris du côté des bleus, pendant cinq minutes... Mais la mort semblait planer sur le château: les deux clairons s'étaient tus. Ils les crurent vaincus, les uns morts, les autres en fuite. En avant! cria le capitaine.

Si tu m'écris sur une carte, prends une carte avec feuille pour la réponse, mais sur une carte ne me parle pas du contenu des paquets afin de ne pas faire de jaloux; argent inutile: les Allemands sont passés, tout est saccagé et les habitants sont nourris par nous.

GRUMIO. Non, je ne veux pas: vous aurez la moutarde, ou vous n'aurez point de tranche de boeuf de Grumio. CATHERINE. Eh bien! tous les deux, ou l'un sans l'autre; tout ce que tu voudras. GRUMIO. Eh bien! la moutarde donc sans le boeuf? CATHERINE. Va-t'en, valet fourbe, qui te joues de moi, et me nourris par le nom seul des mets. Va-t'en! te dis-je! PETRUCHIO. Comment se porte ma Catherine?

Les assesseurs, depuis le sieur Bertelot de la Beaumelle jusqu'au jeune Husson Bordesson, auditeur en la grand'chambre, qui n'avait que voix consultative, étaient de bons vivants, bien nourris, de bel appétit et plus