United States or British Virgin Islands ? Vote for the TOP Country of the Week !


Thalberg a écrit un grand nombre de fantaisies sur les opéras italiens et français. Les plus populaires sont tirés de la Straniera, Moïse, les Huguenots, la Donna del lago, Robert le Diable, Béatrice, la Norma, Lucrèce Borgia, le Barbier de Séville, la Somnambula, la Muette, les deux fantaisies sur Don Juan et l'andante final de Lucie. Nous en passons beaucoup et des meilleures. Outre ces arrangements importants, très développés, Thalberg a publié une œuvre de la plus grande valeur: l'Art du chant appliqué au piano. L'illustre virtuose a pris un soin minutieux

Ut benè regna regas, per que benè regna reguntur, Hec documenta legas que libri fine sequntur: Ut mandata Dei serves priùs hoc tibi presto, Catholice fidei cultor devotus adesto. Sancta patris vita per singula sit tibi forma, Menteque sollicitâ sub eâdem vivito norma. Ductus in etatem sis morum nectare plenus, Fac geminare genus animi per nobilitatem.

En 1851 Ibsen, Bjornstjerne-Bjornson et Vinje entreprirent, avec un programme très libéral, la publication d'une revue hebdomadaire: Andrimmer qui disparut au bout de neuf mois. C'est dans cette revue que furent publiées les premières poésies d'Henrik Ibsen, une épopée: Helge Hundingsbane et une pièce satirique Norma.

Cependant les deux partis s'étaient réunis pour honorer la mémoire de l'auteur de Norma et des Puritains. Les élèves du Conservatoire de Naples avaient ouvert une souscription pour lui faire des funérailles; mais le ministre des cultes s'était opposé

Cette présentation du jeune pianiste français faite d'une façon si délicate, si gracieuse par l'illustre bénéficiaire, fut très appréciée du public d'élite qui venait surtout entendre Thalberg en possession de la faveur générale. Les deux artistes firent merveille dans le duo pour deux pianos sur la Norma de Thalberg; ils furent chaleureusement applaudis. Prudent, rappelé par de nombreux amis, devenus ses admirateurs, dut,

La gloire de Duprez a quelquefois éprouvé des éclipses, des vicissitudes et l'ingratitude ordinaire du public; il joua le rôle de Polione, dans La Norma, par déférence pour Mme Malibran, son amie, il était, ce qui lui arrivait rarement, fort enrhumé, et cette indisposition ayant pris un caractère sérieux dès la seconde représentation, il s'efforça de chanter, sans en avoir préalablement fait prévenir le public. Duprez fut sifflé

La toile se releva; on joua le second acte de Norma, puis, la toile baissée, les acteurs redemandés selon l'usage, nous allâmes au foyer, nous rencontrâmes le voyageur. Mon cher, lui dit Arami, je n'ai pas parfaitement compris ce que tu voulais me dire, fais-moi le plaisir de me le répéter.

Alors, mossiou, les gens qui font si belle cuisine sous le terrazzone, sans s'inquiéter de montrer leur fumée, et sans remords de nous envoyer cruellement la bonne odeur de leur ripaille... Tais-toi, écoute! lui dis-je en l'interrompant. A présent crois-tu que j'aie rêvé le son d'un piano? Oui, mossiou, je l'entends! Je ne suis pas sourd! bon piano! belle musique! Tiens! c'est l'air de la Norma!

Monsieur, balbutie la débutante, devenue rouge jusqu'au blanc des yeux, j'ai la prière de Norma... Comment, malheureuse! s'écrie Barbaja d'une voix tonnante; après la Ronzi, oserais-tu aborder la prière de Norma? Quelle audace! Je chanterai, si vous le préférez, la cavatine du Barbier. La cavatine du Barbier! après la Fodor! Quelle indignité!

Peu après la mort, en 1835, de Bellini, l'inoubliable auteur de la Somnanbula et de la Norma, Verdi, l'immortel créateur de tant de chefs-d'œuvre, entrait en scène et ne devait cesser de produire avec une rare fécondité ses merveilleux ouvrages, toujours au répertoire de tous les théâtres du monde.