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A Bade, d'abord, première représentation d'un opéra français en deux actes, de MM. de Saint-Georges et Clapisson, intitulé le Sylphe. Les deux rôles principaux sont fort bien joués et chantés par Montjauze et Mlle Duprez. C'est vif, gai, émaillé de mélodies gracieuses, de scènes ingénieusement traitées, et la partition est finement instrumentée. Comme il me paraît impossible que cet ouvrage, après l'accueil qu'on lui a fait

À cette époque, elle s'appelait Lili; et c'est encore aujourd'hui, pour les vieux et fidèles amis de Duprez, le seul nom qu'elle porte. Troisième phase. Déception. Je revins en France vers le commencement de l'année 1836: mon drame du Capitaine Paul était complètement achevé et prêt

M. de Monte-Cristo attendit, selon son habitude, que Duprez eût chanté son fameux Suivez-moi! et alors seulement il se leva et sortit.

Vendredi il y avait grand concert chez madame L. C. G..., une des aimables et jolies comtesses du faubourg Saint-Germain. Thalherg s'y faisait entendre, et Duprez et Artôt; on applaudissait. Les petites mains délicates et parfumées n'étaient pas les moins ardentes

Il trouva des consolations dans le cercle brillant qui grandissait autour de lui. Il fallait avoir des liens sérieux avec la famille Zimmerman ou une très haute notoriété artistique pour être admis sur le programme des fêtes musicales qui se donnaient square d'Orléans. Duprez,

Notre cicerone (en Italie il n'y a pas moyen d'éviter le cicerone) nous conduisit, Barbaja, Duprez, madame Malibran, Jadin et moi, aux ruines d'un temple qu'il nous donna pour un temple d'Apollon. Comme, grâce

Cher Maximilien, interrompit le comte, écoutez de quelle adorable façon Duprez chante cette phrase:

Au reste, la troupe de Saint-Charles restait toujours la plus belle et la plus complète d'Italie: elle se composait de trois élémens musicaux nécessaires pour faire un tout: d'un ténor mezzo carattero, d'une basse, d'un soprano. Par bonheur encore les trois élémens étaient aussi parfaits qu'on pouvait le désirer, et avaient nom: Duprez, Ronconi, Taquinardi.

Que d'émotions nous eussions éprouvées en terminant la soirée, si nous y eussions entendu M. et Mme Duprez réunir tous les suffrages avec la ravissante Mme Malibran, dans la Somnambula et les Cavatines de Don Juan. Le souvenir de ces artistes est encore présent

...On vient de trouver le moyen de gagner de l'argent en ne bâtissant pas de salle pour les Italiens. La troupe chantante de notre grand Opéra va se trouver en lutte directe avec les chanteurs ultramontains; on veut réunir les deux troupes dans la salle de la rue Le Peletier. La mêlée sera rude: Lablache contre Levasseur, Rubini contre Duprez, Tamburini contre Dérivis, la Grisi contre mademoiselle Nathan, et tous contre la grosse caisse. Nous serons l