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Mis à jour: 5 juin 2025


Ce serait vouloir démentir l'histoire que de ne pas avouer qu'une partie de ces changemens est due aux fausses idées de quelques ultramontains sur la nature et sur les droits de l'épiscopat.

Non, non, certains ultramontains intrigants et tapageurs ne conservent pas seuls, comme ils le voudraient faire croire, la tradition du dévouement de l'homme

...On vient de trouver le moyen de gagner de l'argent en ne bâtissant pas de salle pour les Italiens. La troupe chantante de notre grand Opéra va se trouver en lutte directe avec les chanteurs ultramontains; on veut réunir les deux troupes dans la salle de la rue Le Peletier. La mêlée sera rude: Lablache contre Levasseur, Rubini contre Duprez, Tamburini contre Dérivis, la Grisi contre mademoiselle Nathan, et tous contre la grosse caisse. Nous serons l

Aussi fort raisonnablement les Ultramontains, peu touchés de ses sourires, de ses caresses, des avances serviles qu'il leur faisait pour le chapeau, restaient ou Espagnols, ou Autrichiens, ennemis de Dubois et de la Régence. Au moment même le Régent prit leur homme pour ministre, les gros Jésuites, le Comité des trois qui gouvernaient, leur secrétaire, l'intrigant Tournemine, liaient les deux conspirations, celle de Sceaux avec celle d'Espagne; et le nonce Bentivoglio, dans un pamphlet atroce, condamnait le Régent

Je dis Cocalus sur la foi de Diodore de Sicile: entendons-nous bien, car avec les savants ultramontains il faut mettre les points sur les i. Une erreur de date, une faute de typographie, ont de si graves inconvénients dans la patrie de Virgile et de Théocrite, qu'il faut y faire attention. Un pauvre voyageur inoffensif met sans penser

"Les excès auxquels ils se livrent viennent de deux causes: l'ignorance extrême du plus grand nombre et l'attachement du surplus aux principes ultramontains et aux princes étrangers..... La seconde cause ne permet pas de différer un seul instant de garantir ce département du danger imminent qui le menace.

Mais vous comprenez que si le jeune homme a besoin de quelques mille de francs de plus.... N'en faites rien, le père vous les laisserait pour votre compte; vous ne connaissez pas tous les millionnaires ultramontains: ce sont de véritables harpagons. Et par qui lui est ouvert ce crédit? Oh! par la maison Fenzi, une des meilleures de Florence.

Il n'écoute rien; il lui faut des vociférations en style de tambour-major traînant depuis dix ans sur tous les théâtres Ultramontains; des thêmes communs, entrecoupés de repos, pendant lesquels il peut s'écouter applaudir, s'essuyer le front, rajuster ses cheveux, tousser, avaler une pastille de sucre d'orge. Ou bien, il exige de folles vocalises, mêlées d'accents de menace, de fureur, de gaîté, de tendresse, de notes basses, de sons aigus, de gazouillements de colibri, de cris de pintade, de fusées, d'arpéges, de trilles. Quels que soient le sens des paroles, le caractère du personnage, la situation, il se permet de presser ou de ralentir le mouvement, d'ajouter des gammes dans tous les sens, des broderies de toutes les espèces; rien ne le choque, tout va; une absurdité de plus ou de moins serait-elle remarquée en si belle compagnie! L'orchestre ne dit rien ou ne dit que ce qu'il veut; le Ténor domine, écrase tout; il parcourt le théâtre d'un air triomphant; son panache étincelle de joie sur sa tête superbe; c'est un roi, c'est un héros, c'est un demi-dieu, c'est un dieu! Seulement on ne sait quel est son sexe: on ne peut découvrir s'il pleure ou s'il rit, s'il est amoureux ou furieux; il n'y a plus de musique, plus de drame, plus de mélodie, plus d'expression, plus de sens commun: il y a émission de voix, et c'est l

Cependant, de nouveaux démêlés avec le pape compliquaient la position de la France. Napoléon s'adressait alors au cardinal Fesch. C'était un prêtre zélé, et tout bouillant d'une vivacité italienne: il défendait les droits ultramontains avec une ardente opiniâtreté; et telle était la chaleur de ses discussions avec l'empereur, que, dans une occasion précédente, celui-ci, tout irrité, s'était emporté jusqu'

La méthode de défendre les portes par des bastions ou boulevards circulaires était appliquée en France du temps de Charles VIII. Machiavel, dans son Traité de l'art de la guerre, I. VII, s'exprime ainsi: «... Mais... que si nous avons quelque chose de supportable (en fait d'institutions militaires), nous le devons tout entier aux ultramontains. Vous savez, et vos amis peuvent se le rappeler, quel était l'état de faiblesse de nos places fortes avant l'invasion de Charles VIII en Italie, dans l'an 1494Et dans son procès-verbal de visite d'inspection des fortifications de Florence, en 1526, on remarque ce passage: «Nous parvinmes ensuite

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