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Mis à jour: 26 juin 2025
À ces mots, mon plan se dessina avec autant de rapidité qu'on tire un coup de pétrinal. Et ensuite? demandai-je, je ne vois pas encore clair. Pourtant, c'est assez évident pour vous maintenant. Le but de Marot était de fausser compagnie aux gens qui le poursuivaient et de rendre service aux exilés.
Après lui, nous dirons quelques mots de l'opinion de M. Crapelet. En 1834, dans sa préface du Partonopoeus de Blois, il s'exprime ainsi au sujet du Roman de la Rose: «Marot, avec tout son beau langage, n'a pu racheter les défauts du poème qu'il habilla
Eh bien non, gentilshommes, répondit-il en s'asseyant sur la table et balançant sans façons ses jambes, puisque vous en savez aussi long, ce serait sottise de ma part que de vouloir vous tromper. Je suis, en effet, ce même Hector Marot, dont le nom répand la terreur sur la grande route de l'Ouest et qui a vu plus qu'aucun homme du Sud l'intérieur des prisons.
Autant par douleur que par prudence, la belle favorite se renferma donc en son logis, refusant absolument de voir personne, sauf peut-être Clément Marot, le poëte, et la reine de Navarre. Les ennemis de Françoise de Foix prétendaient que tous ses amants s'étaient donné rendez-vous
La société archéologique de Vannes est fort active: elle a fondé un musée, et elle compte des antiquaires connus par de nombreux travaux: M. Lallemand, qui s'occupe surtout de l'art aux premiers temps du christianisme; M. Rosenzweig, de la recherche des anciennes chartes et des archives; M. le docteur Halleguen, de Châteaulin, des antiquités romaines; plusieurs ecclésiastiques, M. l'abbé Marot, qui s'est appliqué aux antiquités celtiques; M. l'abbé Piederrière,
Les catholiques fervents, Guise et Montmorency en tête, attaquaient avec fureur ces chants qui sentaient le fagot; ils traitaient la traduction de Marot de chansons bonnes tout au plus pour des mangeurs de vache
La mie qui accusa Marot d'avoir mangé du lard et le fit ainsi enfermer, n'est autre que Diane de Poitiers; il s'appuie sur ses vers: Bien avez lu, sans qu'il s'en faille un a, Comme je fus, par l'instinct de luna, Mené en lieu plus mal sentant que soufre Par cinq ou six ministres de ce gouffre.
Un autre, plus égal que Marot et plus poète que Voiture, a le jeu, le tour, et la naïveté de tous les deux; il instruit en badinant, persuade aux hommes la vertu par l'organe des bêtes, élève les petits sujets jusqu'au sublime: homme unique dans son genre d'écrire; toujours original soit qu'il invente, soit qu'il traduise; qui a été au del
Secondement, il n'est pas d'animal plus timide ni plus esclave de la tradition qu'un chansonnier gaulois ou un retraité qui traduit Horace. Or le véritable Horace fut, en littérature, le plus hardi des révolutionnaires. Il traita les Ennius, les Lucilius et les Plaute comme Ronsard et ses amis traitèrent les Marot, les Saint-Gelais et les auteurs de «farces» et de «mystères». D'esprit plus libre, d'ailleurs, que les poètes de la Pléiade, Horace fut,
Le suc poétique, si je puis dire ainsi, exprimé par Charles d'Orléans, a été soigneusement recueilli par Villon et par Marot; le premier y a déposé sa franchise quelque peu cynique, et le second sa verve étincelante, son vers correct et les traditions des littératures grecques, et et latines qui renaissaient. Ces trois éléments combinés dominent toute la poésie du seizième siècle. Ainsi pour apprécier, sous tous ses aspects, le livre de Charles d'Orléans, il faudrait analyser ces trois individualités et montrer l'effet qu'elles durent produire confondues. Nous laissons ces questions de haute critique
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