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Buckonghahelas, dit M. Thatcher, n'était rien moins que servile dans son amitié pour les Anglais. Il était leur allié, mais il ne le fut qu'aussi longtems qu'ils le traitèrent comme tel. Comme il combattait en quelque sorte pour eux, il attendait leur secours. Le major Campbell, commandant britannique sur le Miami, donna en effet des armes et des munitions, et après la défaite des sauvages par le général Wayne, il se plaignit avec énergie

Pour l'honorer davantage, il s'habilla d'une peau de loup; des bergers, avec des lévriers et des mâtins, le chassèrent dans les montagnes, le poursuivirent, le traitèrent si mal, qu'on le porta pour mort chez sa maîtresse. Idem. ibid. p. 278.

Lorsqu'elle vit Coupeau hors de danger, Gervaise cessa de garder son lit avec autant de rudesse jalouse. Maintenant, on ne pouvait plus le lui tuer, et elle laissait approcher les gens sans méfiance. La famille s'étalait dans la chambre. La convalescence devait être très-longue; le médecin avait parlé de quatre mois. Alors, pendant les longs sommeils du zingueur, les Lorilleux traitèrent Gervaise de bête. Ça l'avançait beaucoup d'avoir son mari chez elle. A l'hôpital, il se serait remis sur pied deux fois plus vite. Lorilleux aurait voulu être malade, attraper un bobo quelconque, pour lui montrer s'il hésiterait une seconde

Quelques esprits chagrins leur parlèrent de «mécontentementsils les traitèrent de visionnaires. Cependant, ce jour du 4 mars 1816, le duc de Sairmeuse se mettait

De leur côté, les revues scientifiques traitèrent plus spécialement les questions qui touchaient

La classe intermédiaire, qui, par ses rapports journaliers avec les classes inférieures, exerce une si grande influence, ne leur parut qu'un assemblage grossier de roturiers parvenus; ils la traitèrent avec hauteur, avec mépris. Trompés par les souvenirs des excès de la révolution, ils se persuadèrent qu'on était maître de la France, quand on avait pour soi la populace; et comme,

Tout autour de moi avait l'apparence si innocente et si honnête qu'ils me traitèrent avec plus de civilité que je n'attendais, mais ce ne fut qu'après avoir minutieusement fouillé la chambre jusque sous le lit, dans le lit, et partout ailleurs il était possible de cacher quoi que ce fût; quand ils eurent fini, sans avoir pu rien trouver, ils me demandèrent pardon et redescendirent l'escalier.

Les femmes de la cour ne la traitèrent pas plus favorablement. Elles suspectèrent les liaisons d'

Les Turcs, ne voyant pas moyen de vaincre la résistance des Français, s'en vengèrent sur les malheureux chrétiens qu'ils avaient sous la main. Ils commencèrent par massacrer une partie des habitants du quartier européen; ils tuèrent plusieurs négociants, pillèrent leurs maisons, et enlevèrent leurs filles et leurs femmes. Ils recherchèrent ensuite ceux des Arabes qui étaient accusés de bien vivre avec les Français, et de boire du vin avec eux. Ils les égorgèrent, et firent, comme de coutume, succéder le pillage au massacre. Ils empalèrent un Arabe qui avait été chef des janissaires sous les Français, et qui était chargé de la police du Kaire; ils traitèrent de même celui qui avait été secrétaire du divan institué par le général Bonaparte. De l

Les domestiques de même me traitèrent avec effronterie, et on eut toutes les peines du monde