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Mis à jour: 5 juin 2025


Les deux premiers auteurs qui s'occupèrent de l'époque de la fondation du château, furent l'architecte Blondel, dans son livre de l'Architecture française, t. IVe, 1756, et l'abbé Lebeuf, dans l'Histoire du diocèse de Paris, t. VII<sup>e</sup>, 1757. Voici d'abord ce que dit l'abbé Lebeuf.

En relisant dernièrement l'Histoire de la ville et de tout le diocèse de Paris, publiée en 1754 par l'abbé Lebeuf, et dont un érudit vient de donner une nouvelle édition, laborieusement complétée , j'étais frappé de voir

L'abbé Lebeuf traite d'abord de Notre-Dame et de ses dépendances. Notre-Dame vit toujours: on l'a même restaurée avec un respect pieux, sur lequel nous ne sommes pas blasés, et que nous apprécions d'autant mieux. Mais que sont devenues les succursales dont elle était flanquée de toutes parts, et qui faisaient

Mémoire de Boivin le cadet, dans le Recueil de l'Acad. des Inscript., t. II, p. 704. Cette histoire de Charles V a été publiée par l'abbé Lebeuf, Dissert. sur l'Hist. de Paris, t. [Note 162: Imprimé

V, l. Catalogue des principaux Astrologues, etc., rédigé par Simon de Phares, écrivain du quinzième siècle, et publié par l'abbé Lebeuf, Dissertat sur l'Hist. de Paris, t.

Presque tous ceux qui, depuis cette époque, ont écrit sur l'origine du château de Versailles, puisant leurs renseignements dans l'abbé Lebeuf, ont donné l'année 1627 comme date de sa fondation . Cette date est encore indiquée dans les descriptions modernes de Versailles, que l'on trouve dans toutes les mains des visiteurs du musée historique.

L'abbé Lebeuf et dom Bouquet, qui les avoient reconnus dans le seul manuscrit de Ste-Geneviève, n'ont pas un instant douté qu'ils n'eussent été faits pour Philippe-le-Hardi. Le cinquième vers latin semble les avoir décidés: «Sancta patris vita per singula sit tibi forma

Note 281: M. Geraut, éditeur ordinairement exact et très-judicieux du Paris sous Philippe-le-Bel, a fait sur le Louvre une observation qui ne me paroît pas heureuse: «Quelques auteursdist-il, «l'abbé Lebeuf entr'autres, ont pensé qu'il devoit sa fondation

Du Breul et Sauval en donnent la liste, et l'abbé Lebeuf. Il y en avait tout autour, ça fourmillait, des chaussés, des déchaussés, des tondus, des barbus, des gris, des noirs, des blancs, des franciscains, des minimes, des capucins, des carmes, des petits augustins, des grands augustins, des vieux augustins... Ça pullulait.

Rien ne peut mieux faire mesurer l'étendue des ruines au prix desquelles la nouvelle capitale a payé sa splendeur géométrique, que la lecture des vieux historiens de Paris, naïf inventaire de tant de trésors admirables, gaspillés, jetés au vent par des héritiers prodigues, ou échangés contre tant de clinquant, de ruolz et de chrysocale. Et quand je dis l'édilité moderne, je n'entends point parler seulement de celle que nous subissons depuis une douzaine d'années; celle-ci est la plus coupable, mais non la seule. D'ailleurs, le vandalisme destructeur de la Révolution avait précédé le vandalisme de restaurations et d'embellissements de MM. les ingénieurs et les préfets de la Seine. Dans le chapitre des démolitions, 1795 est la préface de 1865. Sur le seul point abordé par l'abbé Lebeuf, la liste de nos pertes atteindrait des proportions invraisemblables. Les deux tiers pour le moins des églises qu'il passe successivement en revue, dont plusieurs étaient des oeuvres d'art, dont plus les humbles même se recommandaient par quelque point

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