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En 1756, lorsque Louis XV, fatigué des querelles entre la magistrature et le grand conseil

La même année, Croizet publiait son Plan du centre de la Cité (1756, in-8°), qui se rattachait au système général d'embellissements conçu par la favorite et son entourage. Trois ans plus tard, en 1759, la veuve de l'architecte et ingénieur R. Pitrou faisait paraître une série de onze planches, son mari avait déroulé sous toutes ses faces son projet d'établissement dans la Cité d'une grande place circulaire décorée d'une statue du roi, s'arrondissant en avant d'un nouvel Hôtel de Ville, et desservie par un ensemble de larges rues neuves destinées

Auguste, électeur de Saxe et roi de Pologne, chassé de ses états héréditaires pendant la guerre de 1756, se réfugia en Pologne: voyez, tome XXI, le chapitre XXXII du Précis du Siècle de Louis XV; il est mort en 1763.

Elle fut commencée vers 1756, et elle était terminée au commencement de 1758; ce qui paraîtrait peu croyable, vu la grandeur et le soin de la construction, si Winckelmann ne l'attestait dans ses lettres . C'est dans son enceinte, au milieu de ses statues, sous ses portiques,

Qui nous l'a dit? Rousseau lui-même, et Rousseau tout seul. Ceux qui en ont parlé ou écrit au XVIIIe siècle ne le savaient que par Rousseau. Aucun témoignage qui ne soit fondé, directement ou indirectement, sur les confidences de Jean-Jacques (aucun, sauf un témoignage anonyme dans le Journal encyclopédique, en 1791. L'anonyme dit que, voisin de Rousseau dans la rue de Grenelle-Saint-Honoré, donc entre 1749 et 1756, il avait entendu dire

Le lecteur qui nous a suivis dans le détail de ces intéressantes opérations partage sans doute tous les sentiments qui nous agitaient. Oppressé comme nous par la crainte et l'espérance, il hâte l'instant nous pourrons enfin tenter notre fuite; nous la fixâmes au mercredi 25 février 1756, veille du jeudi gras.

Louis-Marie, vicomte de Noailles, était le deuxième fils du maréchal de Mouchy. en 1756, il devint colonel des chasseurs d'Alsace, et fit la campagne d'Amérique. Député de la noblesse de Nemours aux états généraux, il adopta chaleureusement les idées nouvelles, se réunit au tiers, et proposa l'abolition des droits féodaux (4 août). Président de l'Assemblée constituante en 1791, maréchal de camp en 1792, il fut battu

Quel fut l'effet dans le public? Mon pauvre d'Argenson aîné n'est plus dans les coulisses. Il n'apprend le traité qu'avec tout le monde (mai 1756). On voit par lui (frère d'un ministre!) combien la France était dans l'ignorance de son sort. Vivement, naïvement, dans ces notes si brèves qu'il écrit pour lui seul, on voit l'amère surprise, l'effroi qu'on eut de tout cela. On voit aussi l'indigne imprévoyance des gens d'en haut, leur affreuse glissade en plein abîme, et leur air effaré, leur fausse audace de peureux qui tremblotent en fredonnant. La nausée en vient

Les plus célèbres évasions furent celles d'Antoine de Chabanne, comte de Dammartin, sous Louis XI, pendant la Ligue du bien public ; celle de l'abbé de Bucquoy , qui s'était également évadé du For-l'Evêque et qui écrivit en Hanovre l'histoire de ses évasions ; enfin celles de Latude et de son camarade d'Alègre, dans la nuit du 25 février 1756.

Pour moi qui suis payé plus que personne pour vanter, et pour me vanter de son amitié, je dois ajouter que, durant les trente années que j'ai vécu avec lui dans une certaine intimité, il ne m'a jamais perdu de vue un seul instant, et que je n'ai jamais pu m'attirer de sa part aucun refroidissement essentiel, malgré différents torts que j'ai eus envers lui. Il aimait l'audace, et c'est par un propos presque offensant, et que j'avais soutenu avec toute la folie romanesque d'un jeune homme de vingt-deux ans, que j'ai trouvé le chemin de son coeur. Venant d'arriver en 1756