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Mis à jour: 1 mai 2025
L'abbé Lebeuf et dom Bouquet, qui les avoient reconnus dans le seul manuscrit de Ste-Geneviève, n'ont pas un instant douté qu'ils n'eussent été faits pour Philippe-le-Hardi. Le cinquième vers latin semble les avoir décidés: «Sancta patris vita per singula sit tibi forma.»
Ces deux savants ne feraient-ils pas confusion de temps, et les armoiries de Dijon n'auraient-elles pas été de gueules plein avant de porter au pampre d'or feuillé de sinople? C'est ce que je n'ai pas le loisir d'examiner ici. Philippe-le-Hardi avait son roi des Ribauds.
«J'eus bientôt déblayé le Dijon des quatorzième et quinzième siècles, autour duquel courait un branle de dix-huit tours, de huit portes et de quatre poternes ou portelles, le Dijon de Philippe-le-Hardi, de Jean-sans-Peur, de Philippe-le-Bon et de Charles-le-Téméraire, avec ses maisons de torchis
Si donc le vers latin cité, si les allusions faites par l'ancien traducteur au règne de Philippe-le-Hardi (voyez, entre autres lieux, le début du règne de Hugues Capet), ne permettent pas de fixer avant le règne du fils de saint Louis l'époque de la première compilation françoise de nos Grandes chroniques de France; d'un autre côté, l'endroit où les vers françois ont été transcrits et la solution de continuité qui se fait remarquer depuis la fin du règne de Philippe-Auguste jusqu'au commencement du règne de saint Louis prouvent que le premier historiographe s'est arrêté avant l'histoire de Louis VIII, et que c'est
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