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Je tirerai encore de la foule, par un autre motif, une chronique latine de la ville d'Asti, écrite par un auteur dont le nom n'excita peut-être pendant long-temps que peu d'intérêt; mais ce nom est devenu, dans le dernier siècle, cher aux amis des arts, des lettres, et surtout de l'art dramatique: cet auteur se nommait Alfiéri; son nom et sa patrie, dont il écrivit l'histoire, ne permettent pas de douter qu'il ne soit un des ancêtres du grand poëte dont l'Italie pleure la perte récente, et dont la France, qui eut le malheur d'éprouver sa vengeance poétique, et le malheur plus grand de la mériter, ne doit perdre aucune occasion de prononcer le nom avec regret et avec honneur .

Et il jeta une citation latine qui lui fit le plus grand honneur chez toutes ces belles dames qui s'écrièrent en choeur: «Il est inouï! il voit tout, il est partout, il sait tout

Allons voir Onofrio; il saura quelque chose. Nous n'eûmes pas la peine d'aller jusqu'au paillis. Nous trouvâmes le berger de Tusculum sur le plateau fut le centre de la cité latine, entre le cirque et le théâtre. Il écouta gravement nos questions et parut ne pas les comprendre. Il est venu hier au soir, nous dit-il; il m'a payé; son argent est bon; il est reparti tout de suite.

De cette rhétorique et des sources elle puisait, il est resté chez les Génois une facilité remarquable et presque vulgaire de parler la langue latine; presque vulgaire, parce que le latin s'étant conservé jusqu'

Note 390: Voici la phrase latine: «Nuntiatum est copias quas Thedericus comes per Frisiam ducebat, in pago Rhiustri juxt

Converser, conversation. Converser, d'après son origine latine, veut dire vivre avec, et n'a pas d'autre signification durant tout le cours de la langue, jusqu'au seizième siècle inclusivement. Conversation, qui en est le substantif, ne se comporte pas autrement, et nos aïeux ne l'emploient qu'avec le sens d'action de vivre avec. Puis, tout

On lit encore sur le couronnement de la porte, la date de 1570, avec cette inscription latine: Porta patens esto; nulli claudaris honesto, qu'on peut ainsi traduire: Sois porte ouverte

La Martellière ne plaidoit guère bien non plus, mais il avoit bonne tête pour les affaires. Il commença le plaidoyer pour l'Université contre les Jésuites par la bataille de Cannes. Cela fit un plaisant effet, car Dempster, professeur en éloquence, avoit publié, un jour devant, une épigramme latine il disoit que La Martellière, leur avocat, n'étoit point de ces orateurs qui parlent de la bataille de Cannes. Il en coûta vingt écus

Et il commence un prodigieux travail d'annotations, souvent page par page, sur la presque totalité de la littérature grecque et sur une bonne partie de la latine. Lorsqu'il sort de Port-Royal au mois d'octobre 1658, Jean Racine est

Comme il arrive presque toujours aux époques de querelles religieuses, la diversité des opinions pénétra dans les familles, et celle de Pirckheimer, jusqu'alors parfaitement unie, fut bientôt troublée. Bilibalde avait deux sœurs, l'une, nommée Charitas, était abbesse du couvent de Sainte-Claire de Nuremberg, dans lequel l'autre vivait simple religieuse, avec une des filles de son frère. Agité par les doctrines des réformateurs, le couvent n'était plus la maison de l'obéissance et de la prière. Bilibalde avait fait l'éducation de ses sœurs, il leur avait appris le latin, qu'elles écrivaient fort correctement et même avec élégance, et il entretenait avec elles une correspondance qui a été publiée dans ses œuvres . Les lettres de Charitas donnent une haute idée de son instruction, et montrent qu'elle avait un goût très-vif pour les ouvrages de l'antiquité grecque ou latine, particulièrement pour les traités de Plutarque, que son frère traduisait en latin pour elle. Néanmoins, tout en lisant les auteurs profanes, elle restait scrupuleusement soumise