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Mis à jour: 28 mai 2025


Entre Balakirev et Cui les relations étaient autres; le premier estimait que celui-ci comprenait peu la symphonie et la forme et rien du tout dans l'orchestration. En revanche, il le considérait comme un vrai maître dans la partie vocale et lyrique.

L'orchestration de l'allegro de cet air me paraît trop chargée, ou tout au moins écrite de façon

Pendant l'automne 1898, je fus occupé par l'orchestration de la Fiancée du tzar. Ce travail ne fut interrompu que pendant quelques jours par mon voyage

«Les Concerts Russes Symphoniques». La mort de Borodine. Le cercle de Balakirev et le cercle de Belaïev. L'orchestration du Prince Igor. Le Caprice Espagnol; Shéhérazade et l'Ouverture Dominicale.

J'ai eu un autre travail en vue. Tenaillé depuis longtemps par l'idée que l'orchestration de la Statue du Commandeur faite dans ma jeunesse, dans la période de la Nuit de Mai, était insuffisante, je résolus d'orchestrer

L'orchestration de Gluck pour la scène du cachot d'Oreste dans Iphigénie en Tauride est bien belle, sans doute; mais de quelle hauteur ici Beethoven domine son rival!

Ma principale occupation, durant la saison 1880-1881, a été l'orchestration de Snegourotchka. Je l'ai commencée le 7 septembre et terminée le 26 mars 1881. La partition comprenait 606 pages d'un texte serré. Cette fois, l'orchestre était plus grand que dans la Nuit de Mai. Je me suis affranchi de toute contrainte. 4 cors étaient chromatiques, 2 trompettes de même; la flûte piccolo était prise séparément entre 2 flûtes; au trombone fut ajouté le tuba; de temps en temps, apparaissait le petit cor anglais et une clarinette basse. Je n'ai pu me passer, ici non plus, de piano, en raison de la nécessité d'imiter le psalterion (procédé légué par Glinka). La connaissance que j'ai faite des instruments

Comme je goûte par exemple la farce, aiguë, autant que profonde sans prendre jamais un ton soucieux vu que c'est trop si la vie l'affecte envers nous, rien n'y valant que s'enfle l'orchestration des colères, du blâme ou de la plainte! partition ici tue selon un rythmique équilibre dans la structure, elle se répond, par opposition de scènes contrastées et retournées, d'un acte

4. Chœur. C'est encore dans le style tendre et gracieux du lied, ne s'éloignant pas toutefois de la gravité qui règne dans l'ensemble de l'œuvre, que Brahms a traduit ces pensées plus consolantes: «Bien douces sont tes demeures, ô Dieu d'Israël». Le charme qui enveloppe l'auditeur est encore augmenté par la richesse de l'orchestration, par cette mélodie touchante des violons (Lettre A) et ces pizzicati des violoncelles, que l'auteur a employés souvent et avec le plus heureux résultat dans le cours du Requiem. La phrase caressante des voix en croches liées deux

Oh! extraordinaire! répétaient ces dames. Inouï! Elles ne se lassaient pas de cette chanson du blanc, que chantaient les étoffes de la maison entière. Mouret n'avait encore rien fait de plus vaste, c'était le coup de génie de son art de l'étalage. Sous l'écroulement de ces blancheurs, dans l'apparent désordre des tissus, tombés comme au hasard des cases éventrées, il y avait une phrase harmonique, le blanc suivi et développé dans tous ses tons, qui naissait, grandissait, s'épanouissait, avec l'orchestration compliquée d'une fugue de maître, dont le développement continu emporte les âmes d'un vol sans cesse élargi. Rien que du blanc, et jamais le même blanc, tous les blancs, s'enlevant les uns sur les autres, s'opposant, se complétant, arrivant

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cuthbert

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