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=Chiffre.= [L'homme merqué de pouldre au visaige] m'est, despuys dix jours, venu deux foys dire adieu pour s'en retorner, allégant quelques occasions de son retardement, et en fin, m'a dict qu'il avoit fort bien accomply ce qu'il avoit

Le comte de Lestre a faict, par plusieurs foys, une grande instance, le genou en terre,

Les voilles de mon corps/ regart Ne ont point aucun pour aviser port L'ancre ne sçait en quelle part Sentir terre pour avoir port Mon cueur vague cent foys plus fort Que nef en mer sans gouvernail En lieu de repoz j'ay travail En lieu d'espoir j'ay diffidence En lieu de seurté pestillence En lieu de plaisir desconfort En lieu de paix impatience En lieu de soustien decadence Il ne reste plus que la mort

Tellement estoie restauré Que sans tourner ne travailler Je faisoie ung somme doré Sans point la nuyt me resveiller Et puis avant que m'abiller Pour en rendre a amours louenge Baisoie troys foys mon orillier En riant a par moy aux anges Damp prieur

Madame, vous verrez en la lettre que j'escriptz au Roy ce que, pour ceste foys, j'ay principallement

De Londres ce Ve de juillet 1569. Madame, affin qu'en devisant et discourant avec la Royne d'Angleterre je puisse toutjour prendre quelque adviz et conjecture des dellibérations qu'elle a sur les présens affaires de vostre royaulme, je la vays trouver aultant de foys qu'il me vient tant soit peu d'argument de parler

Assez le sermon sy dura Pendant lequel une foys loyel De la main vers celle tira Qui pour luy sy menoit grant dueil Puis fist semblant d'avoir sommeil Baissant la teste pas a pas Toutesfoys en devint vermeil Et sy croys qu'il n'y pençoit pas

Mensonges scevent conter, Et trop de plaisir se ventent, Folz sont qui en eulx s'atendent, Ne les vueillez escouter. Mon cueur, etc. N'est ce pas grant trahison De mes yeulx en qui me fye, Qui me conseillent folie Maintes foys, contre raison. Que male part y ait on D'eulx, et de leur tromperie. N'est ce pas, etc. De mes yeulx, etc.

La tisane de l'Algonquin fit merveille, et sa vogue égala son succès. A preuve, ce passage de la Relation du Second Voyage de Jacques Cartier: ...Le capitaine fit faire du breuvage pour faire boire ès malades, desquelz n'y avait nul d'eulx que voulust essayer le dict breuvage, synon un ou deux qui se misrent en adventure d'icellui essayer. Tout incontinent qu'ils en eurent beu, ils eurent l'advantage qui se trouva être un vray et évident miracle. Cart de toutes maladies de quoy ils étaient entachez, après en avoir beu deux ou trois foys, recouvrèrent santé et guarison. Après ce avoir veu et congneu y a eu telle presse la dicte médecine que on si voulait tuer

Quant je veiz la bataille oultré De ceulx a qui subget je fuz J'ay toute crainte despitee Sy ay ma visiere baissee Com cil qui ne veult vivre plus Sans craindre qui me coure sus A chascun en donnay le chois Qu'a tous deux a une foys